Bazoches-sur-Vesles
Bazoches-sur-Vesles (dont la graphie Bazoches-sur-Vesle - sans s à « Vesles » - a été officiellement abandonnée[1],[2]) est une ancienne commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.
Bazoches-sur-Vesles | |||||
La mairie déléguée. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de l'Aisne | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Christian Drouet 2022-2026 |
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Code postal | 02220 | ||||
Code commune | 02054 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bazochois | ||||
Population | 439 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 18′ 28″ nord, 3° 37′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 174 m |
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Superficie | 9,49 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Fère-en-Tardenois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Bazoches-et-Saint-Thibaut | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune, à la suite d'une décision du conseil municipal et par arrêté préfectoral du [3], est le chef-lieu et une commune déléguée de la commune nouvelle de Bazoches-et-Saint-Thibaut, depuis le .
Géographie
modifierSituation
modifierLocalisation
modifierPaars | Les Septvallons (Cne deléguée de Perles) |
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Mont-Notre-Dame | N | Fismes | ||
O Bazoches-sur-Vesle E | ||||
S | ||||
Saint-Thibaut | Ville-Savoye |
La localité est implantée sur la rive nord de la Vesle, entre Mont-Notre-Dame et Fismes. Elle est desservie par la une liaison autocar SNCF entre La Ferté-Milon et Fismes.
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Vesle, la Fausse la rivière[4], le cours d'eau 01 du Breignoir[5], le ru du Beau[6] et le ru Vauxtin[7],[8],[Carte 1].
La Vesle, d'une longueur de 139 km, prend sa source dans la commune de Somme-Vesle et se jette dans l'Aisne à Ciry-Salsogne, après avoir traversé 52 communes[9].
Neuf plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau 1 de la Charbonnière, d'une superficie totale de 11,8 ha (8,2 ha sur la commune), le plan d'eau 1 de la Couture (3,3 ha), le plan d'eau 2 de la Couture (2,6 ha), le plan d'eau 2 de la Varane (16,6 ha), le plan d'eau 3 de la Couture (3,1 ha), le plan d'eau 4 de la Couture (2,4 ha), le plan d'eau des Prés de la Maladrerie (4,8 ha), le plan d'eau du Champ des Malades (2,3 ha) et le plan d'eau du le marais aux Juifs (6,1 ha)[Carte 1],[10].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d'aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[11].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Braine à 7 km à vol d'oiseau[14], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,7 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bazoches-et-Saint-Thibaut est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[19]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,3 %), forêts (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), eaux continentales[Note 3] (10,7 %), zones urbanisées (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[22].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia Basilicarum (1135) ; Bazolchiis (XIIe siècle) ; Basilicense (1186) ; territorium Bazochiarum, Basilice (1201) ; Basoches (1209) ; Basoche (1467) ; Basosche (1587) ; Paroisse Saint-Pierre-de-Bazoche (1668)[23].
Bazoches est une formation toponymique médiévale, basée sur l'ancien français basoche, ou bazoche (église). Ce terme est issu, par évolution phonétique, du latin basilica, « église » (basilique, édifice public couvert où se rendait la justice, église ou chapelle chrétienne[24].
La Vesle[Note 4] est une rivière française, affluent de rive gauche de l'Aisne.
Histoire
modifierEn ce qui concerne la préhistoire, Bazoches-sur-Vesles abrite une "allée sépulcrale en bois maintenu par des pierres, longue de 7 m pour 1,40 m de large. Elle est installée en fond de vallée, creusée dans les limons. Dans le vestibule qui précède la chambre se trouvait un mobilier collectif du Néolithique récent Seine-Oise-Marne. Plusieurs dizaines de personnes y sont déposées."[25]. Ainsi que le vallée de l'Aisne et de la Vesle alentour, de nombreuses traces d'habitation sont attestées depuis La Tène. Par exemple les fouilles à La Wache, La Foulerie, au Champ des malades, Les Pâtures, Les Chantereine, tous lieux où des fouilles ont mis en évidence des habitats jusqu'à la période augustéenne[26].
La voie romaine allant de Reims à Soissons, dite chaussée Brunehaut, passait sur le territoire du village. Les préfets romains des Gaules y avaient un palais[27], c'est peut-être la présence d'une villa découverte en 1859 qui renforce cette idée. Aux Pâtures, en 1848 l'abbé Lecomte signalait cette présence, en 59, E. Fleury avec l'Académie de Laon entreprenait des fouilles qui mettaient au jour des pièces d'habitation, mais surtout une mosaïque de vingt-huit mètres carrés.
Les saints Rufin et Valère qui avaient la surintendance des greniers impériaux du domaine impérial près de la Vesle sont dénoncés comme chrétiens et martyrisés à Bazoches en 287[28],[29]. Leurs corps sont jetés dans un cloaque d'où ils sont retirés pour être placés dans un tombeau. Un oratoire est élevé sur leur tombe. Vers 535, saint Loup, évêque de Soissons et neveu de saint Remi, évêque de Reims fonde une collégiale formé d'un collège de soixante-douze clercs ou chanoines en mémoire des soixante-douze disciples de Jésus-Christ. Les reliques de saint Rufin et de saint Valère ont été retirées de terre pour être exposées à la vénération des fidèles. Le manoir de l'évêque de Soissons se trouvait à proximité de la collégiale. En 882, à l'approche des Normands, ces reliques sont transférées de Bazoches à l'église Saint-Pierre de Reims. Elles sont rapportées à Bazoches en 884. En 937, craignant une attaque des Hongrois, elles sont transférées dans la cathédrale de Soissons. Le péril étant passé, l'évêque ne renvoya à Bazoches qu'une seule châsse. Par la suite, ces reliques ont été distribuées dans plusieurs églises, à Coulonges, à Loupeigne, à Vierzy, à Vregny, et à Ourges dans le diocèse de Reims[30].
Un habitat mérovingien aux Chantereines.
Une seconde collégiale existait sur le territoire de Bazoches, dédiée à saint Thibaud. Son origine est mal connue jusqu'en 1088, quand le chapitre de clercs est remplacé par des moines de l'abbaye de Marmoutier, après la restitution de biens et l'accord de Manassé de Bazoches[31].
La seigneurie était aux évêques de Reims avant qu'ils en fassent don aux évêques de Soissons au VIIe siècle. D'après Duchesne, Hervé ou Hérivée, évêque de Reims, a donné la seigneurie de Bazoches à son frère, Eudes, en 909, pour défendre Bazoches contre les Normands ou des brigands. Sous le roi Eudes, Bazoches n'était pas fortifié permettant à des brigands de piller le village[32]. La seigneurie a été confiée à la maison de Châtillon pour mettre le bourg en état de se défendre. Elle l'a transmise à de puînés qui devinrent seigneurs de Bazoches, Eudes de Châtillon, Miles, Gervais et Gaucher de Bazoches[33].
Le château pris par les Armagnacs est ruiné en 1417 au cours de la guerre de Cent Ans. Dans un accord passé devant le parlement de Paris, en 1428, entre Isabelle de Châlons, dernière descendante directe de la lignée de Bazoches, et le chapitre de la cathédrale de Soissons signent un accord après qu'elle est déclarée que « ladicte terre, ville et seigneurie de Bazoches estre arse et brulée et toutes les maisons et habitations dicelle et ses hommes et hostes absens et hors du pays, et ladite terre de nulle valeur par le fait des guerres et divisions qui sont en ce royaume »[34]
Pendant la Fronde, le village et le château sont pillés et incendiés par les Espagnols en 1650. Le chapitre de la collégiale Saints-Rufin-et-Valère est supprimé en 1661[35] .
Bazoches, dite aussi Bazoches en Valois au diocèse de Soissons, possédait une maladrerie (léproserie), intégrée dans l'Ordre royal de N-D du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem en 1664[36],[37]. En 1716 le commandeur de Bazoches était Pierre-Maurille Boulard (1673-1734)[38], écuyer, chevalier, secrétaire général et greffier de l'Ordre[39],[40], diplomate, anobli en février 1719 par lettres patentes pour lui et sa postérité, grand-père d'Antoine-Marie (1754-1825) ; il finit sa carrière comme intendant général et secrétaire des commandements de Louis-Armand de Bourbon-Conti (1695-1727), Prince de Conti[41]. Il épouse Élisabeth Roussart qui vivra avec lui à l'hôtel de Conti[42]. À la mort du prince il est tuteur onéraire des enfants mineurs du prince[43]. Par son épouse il est cité plusieurs fois dans les archives de la famille Dionis.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Bazoches-sur-Vesles est membre de la communauté de communes du Val de l'Aisne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Presles-et-Boves. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[44].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[19]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Fère-en-Tardenois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[19], et de la cinquième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[45].
Administration municipale
modifierListe des maires
modifierListe des maires délégués
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].
En 2021, la commune comptait 439 habitants[Note 5], en évolution de −5,59 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Pierre classée aux monuments historiques depuis 1919.
- Vestiges de l'ancien château du XIIIe siècle partiellement inscrits depuis 1927 aux monuments historiques. Il a été endommagé par un fermier en 1858, et lors de la Première Guerre mondiale en 1918[53].
-
Le portail de l'église.
-
Une vue des ruines du château.
-
Sur un dessin de la fin du XIXe siècle.
Personnalités liées à la commune
modifierPour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Abbé Poquet, « Suite de l'excursion à Bazoches, du Jeudi 10 juin 1858 », Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons, t. XII, , p. 121-122, 126-133 (lire en ligne)
- Stanislas Prioux, « Répertoire archéologique du département de l'Aisne. Arrondissement de Soissons.Canton de Braine. Bazoches », Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons, t. XVI, , p. 11-16 (lire en ligne)
- Eugène Lefèvre-Pontalis, « Bazoches », dans Congrès archéologique de France. 78e session. Reims. 1911, Paris/Caen, Société française d'archéologie, (lire en ligne), p. 442-446
- J. Leclerc, "L'allée sépulcrale de Bazoches-sur-Vesles : fouilles 1986-1992", BSR Picardie, Ministère de la Culture, DRAC Picardie, 1993, p. 20-21.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Bazoches-sur-Vesle sur le site de l'Institut géographique national
- Bazoches-sur-Vesle sur le site de l'Insee
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- L'édition de 1959 du "Dictionnaire National des Communes de France" mentionne Bazoches-sur-Vesle, celle de 1992 donne Bazoches-sur-Vesles.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Bazoches-sur-Vesles » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Insee
- Si l'édition de 1959 du "Dictionnaire National des Communes de France" mentionne Bazoches-sur-Vesle, celle de 1992 donne Bazoches-sur-Vesles.
- Préfecture de l'Aisne, « Arrêté préfectoral no DCL/BLI/2021-39 du 30 septembre 2021 portant création de la commune nouvelle Bazoches-et-Saint-Thibaut », Recueil des actes administratifs de l'Aisne, no 132, , p. 3-5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Sandre, « la Fausse la rivière »
- Sandre, « le cours d'eau 01 du Breignoir »
- Sandre, « le ru du Beau »
- Sandre, « le ru Vauxtin »
- « Fiche communale de Bazoches-sur-Vesles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « la Vesle »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bazoches-et-Saint-Thibaut et Braine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur insee.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 20.
- M. Mulon, Noms de lieu d'Île-de-France, Christine Bonneton, , 231 p. (ISBN 978-2-86253-220-2).
- Denis Vialou, La préhistoire. Histoire et dictionnaire, Robert Laffont, coll. "Bouquins", 2004, p. 302-303.
- C. Pommepuy, 1998.
- Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t.1, Ch.Delagrave, 1876, p. 246.
- Louis-Victor Pécheur, « Martyre de saint Rufin et de saint Valère », Annales du diocèse de Soissons, Soissons, Chez Morel libraire, t. 1, , p. 58-62, 76 (lire en ligne)
- Nominis : Saints Rufin et Valère
- Claude Carlier, Histoire du duché de Valois, Paris, Chez Guillyn, (lire en ligne), p. 23-24
- Carlier 1764, p. 338
- Carlier 1764, p. 339
- Carlier 1764, p. 340
- Auguste Matton, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Aisne. Archives ecclésiastiques. Séries G et H, Laon, Imprimerie A. Cortilliot, (lire en ligne), p. 58
- Inventaire des Hauts de France : Aisne, Bazoches-sur-Vesles
- Roger Haution, « Les maladreries de la vallée de la Vesle : La maladrerie de Bazoches, p. 103-105 », sur Société archéologique, historique et scientifique de Soissons, t. XVI, .
- « Ordre de St-Lazare et de N-D du Mont-Carmel, Historique : 1672 », sur France phaléristique.com.
- Portrait à l'huile sur toile dans un cadre oval 60 × 49 cm vente Piasa à Drouot du mobilier du château de Plainval, le 10 mai 2012, lot no 15 Portrait de Pierre-Maurille Boulard
- Page 111 de la revue Nobiliaire héraldique et biographique, revue historique Dumoulin, 1875 à la date du 9 octobre 1716
- « Liste des chevaliers de l'Ordre de St-Lazare et du Mont-Carmel (pour 1712-1722), 9 octobre 1716, p. 111 », sur Revue historique nobiliaire et biographique, dir. Louis Sandret, t. X, chez J.-B. Dumoulin, à Paris, 1875 ; mis en ligne par Gallica BnF.
- Voir Le Mercure de France de février 1734, p. 401.
- Annuaire du conseil héraldique de France, vol.10, 1897 note 57, p. 133. relatant son décès en l'hôtel de Conti
- 1728, minutes du notaire Charles Lorimier
- « communauté de communes du Val de l'Aisne - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Almanach annuaire historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine de 1875, Reims p185.
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 32 (cf. Bazoches-sur-Vesles).