Fondation du patrimoine

organisme de collecte à but non lucratif pour la sauvegarde du patrimoine français

En France, la Fondation du patrimoine, créée par la loi du , est un organisme privé indépendant à but non lucratif dont la mission est de sauvegarder et valoriser le patrimoine français de proximité.

Fondation du patrimoine
Logo de la Fondation du patrimoine (2020~)
Histoire
Fondation
Cadre
Zone d'activité
Type
Forme juridique
FondationVoir et modifier les données sur Wikidata
Domaine d'activité
Siège
Pays
Coordonnées
Langue
Organisation
Membres
8000 (2015)
Effectif
800 bénévoles et 75 salariés (2021)
Président
Directeur général
Alexandre Giuglaris
Filiales
Fondation Culturespaces (d), Fondation VMF pour le rayonnement et la sauvegarde du patrimoine (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Budget
115 M€ en 2023[1]
Site web
Identifiants
SIREN
OpenCorporates
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Organisée en délégations régionales essentiellement composées de bénévoles, elle accompagne les projets de restauration du patrimoine en favorisant leur financement.

À cette fin, elle a reçu délégation de l'État pour accorder un label qui permet au propriétaire réalisant des travaux de bénéficier de déductions fiscales significatives, elle organise des opérations de financement participatif et de mécénat d'entreprise, et bénéficie d'une partie des recettes du loto du patrimoine.

Historique

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Origines

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En , le sénateur et maire de Saumur Jean-Paul Hugot remet un rapport à Jacques Toubon, ministre de la Culture et de la Francophonie, intitulé Conditions de création d’une fondation du patrimoine français dans lequel il préconise la création d'une structure qui pourrait mobiliser les acteurs du secteur privé (entreprises et particuliers) en faveur du patrimoine. Ce rapport s'inspire notamment du modèle du National Trust britannique.

La Fondation du patrimoine est créée par la loi du [2]. Elle est alors présidée par Édouard de Royère, ancien dirigeant du groupe Air liquide.

Elle est reconnue d’utilité publique par le décret du [3].

Présidents

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Mission

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La Fondation du patrimoine a reçu de l’État la mission de promouvoir la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine de proximité, c'est-à-dire le patrimoine rural (maisons typiques, moulins, lavoirs, etc.), le patrimoine religieux (églises, chapelles, etc.) et le patrimoine industriel (anciennes usines emblématiques, etc.)[4]. En effet, celui-ci n'est la plupart du temps ni classé (intérêt national) ni inscrit (intérêt régional), et n'est donc pas protégé.

Elle identifie les édifices et sites menacés de dégradation ou de disparition, sensibilise les acteurs locaux à la nécessité de leur restauration et aide au financement des projets (mobilisation des différents acteurs, octroi du label, levée de fonds par mécénat, collecte publique ou financement direct).

Modalités d'action

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Plaque apposée de la Fondation du patrimoine apposée sur la façade de l'hôtel d'Ourscamp, à Paris.

La Fondation du patrimoine est habilitée par la loi du à délivrer un label à des travaux réalisés par des propriétaires privés sur des édifices non protégés au titre des monuments historiques (ni classés, ni inscrits)[5]. Il permet de bénéficier de déductions fiscales significatives[6] : de la moitié du montant des travaux à la totalité. Les travaux doivent concerner les parties extérieures de bâtiments visibles depuis la voie publique. Le dossier de demande d'attribution de label est instruit par les chargés de mission puis validé par le délégué régional de la Fondation et doit recevoir l'aval de l'unité départementale de l’architecture et du patrimoine dirigée par l'architecte des bâtiments de France.

L’objectif du label « Fondation du patrimoine » est d’encourager les propriétaires privés de patrimoines non protégés à effectuer les travaux de restauration. Ce mécanisme présente deux avantages : il incite à réaliser des travaux de restauration dans le respect des techniques et des matériaux d’époque, ce qui est généralement plus dispendieux pour le propriétaire, et il favorise la préservation de biens non-habitables pour lesquels un propriétaire privé a a priori peu d’intérêt à engager une dépense.

Financement participatif ou collecte publique

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La Fondation du patrimoine engage des campagnes de collectes publiques, appels aux dons pour financer des projets de sauvegarde du patrimoine public et associatif. Les dons collectés par ces campagnes de financement participatif sont affectés à la réalisation d’un projet déterminé. Ils ouvrent droit à des réductions d’impôts pour les donateurs.

La fondation attribue sur ses fonds propres des aides complémentaires aux collectes les plus mobilisatrices.

Mobilisation du mécénat d’entreprises

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Des accords de mécénat nationaux ou locaux sont conclus avec des entreprises pour financer les projets de sauvegarde et de valorisation du patrimoine de proximité[7]. Depuis 2006, le premier mécène est la Fondation Total. Le mécénat d’entreprise peut prendre la forme d'un mécénat financier, en nature ou de compétence, et il permet pour les entreprises mécènes de bénéficier d’avantages fiscaux.

Des clubs de mécènes sont lancés pour fédérer des entreprises autour de projets sur leur territoire. Une trentaine de clubs rassemblent aujourd'hui 250 entreprises réparties dans toute la France, qui collectivement représentent le deuxième mécène de la Fondation du patrimoine. Le premier club des mécènes est fondé en 2010, regroupant quelques entreprises engagées pour la sauvegarde du patrimoine sauvegarde du logis royal du château d’Angers, en Maine-et-Loire.

Chaque club comporte une dizaine d’entreprises en moyenne, qui choisissent les projets de restauration qu’elles souhaitent soutenir au cours de leurs réunions annuelles.

Lettre ouverte

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En 2016, ces onze associations les plus importantes qui se consacrent à la sauvegarde du patrimoine français font connaître d'une même voix, leur expérience et leur analyse prospective aux Français et à leurs élus que le Patrimoine est une richesse et une chance. Elles formulent dans une lettre ouverte publiée en 1996 sous forme d'ouvrage vingt-deux propositions pour une gouvernance améliorée, une transmission simplifiée et une gestion économique et durable du patrimoine[Note 1].

Mission Stéphane Bern

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Mission Stéphane Bern
Présentation
Type
Fondation
Site web
Localisation
Localisation

La Fondation du patrimoine est l'opérateur de la mission de sauvegarde du patrimoine[8],[9] confiée à Stéphane Bern par le président de la République en . Elle apporte en particulier son soutien dans l'identification des monuments en péril et dans la recherche de solutions de financement.

Dans la première phase de l'opération, plus de 2 000 monuments ont été signalés par démarche participative sur la plateforme numérique de la Fondation du patrimoine et du ministère de la Culture. Le , la seconde phase a été présentée à l’Élysée, durant laquelle 269 projets prioritaires dont 18 emblématiques ont été dévoilés, répartis sur tout le territoire national (métropole et outre-mer).

À l’occasion de cette mission, un loto du patrimoine[10] est lancé et une partie de ses bénéfices est reversée à la Fondation du patrimoine. Les retombées des jeux permettent à celle-ci de financer rapidement la première tranche de restauration des 18 projets emblématiques. Les projets prioritaires sont quant à eux financés à somme variable des retombées des jeux, à l'aide du financement participatif et du mécénat d'entreprise.

Portail du patrimoine

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Logo du Portail du patrimoine

La Fondation du patrimoine a lancé, en 2021, le Portail du patrimoine.

Ce site d’information, consacré au patrimoine et aux enjeux de sa restauration, met à la disposition des propriétaires différents contenus pour les accompagner dans la réalisation de leurs projets de restauration.

 

Le site traite de diverses thématiques autour du patrimoine :

  • Aides et Financement
  • Culture Patrimoine
  • Acteurs du patrimoine
  • Communication et Mobilisation
  • Valorisation du patrimoine
  • Projet patrimonial

Projets emblématiques de la Fondation du patrimoine

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Parmi les lieux emblématiques soutenus par la Fondation du patrimoine, on peut citer : le mémorial Charles-de-Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises, la cathédrale de Reims, le château de Lunéville, l’église nouvelle d'Oradour-sur-Glane ou encore les décors du théâtre national de Chaillot.

Considérant l'ampleur des dégâts causés à la cathédrale Notre-Dame de Paris par l'incendie du qui a détruit sa toiture, sa charpente du XIIIe siècle et sa flèche, la Fondation du patrimoine a ouvert une collecte exceptionnelle destinée à la restauration de cet édifice.

Programmes spécifiques

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Programme Patrimoine naturel

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Parc naturel régional du Pilat, restauration de la Sapia.

Dans le cadre de ses missions, la Fondation du patrimoine développe des actions en faveur du patrimoine naturel pour la valorisation de la biodiversité et la réhabilitation des espaces naturels sensibles. Ces actions donnent la priorité à des projets qui intègrent le patrimoine bâti comme élément complémentaire d’un environnement, d’un paysage ou d’un biotope.

À travers le programme Patrimoine naturel, elle apporte une aide financière pour des projets situés dans des espaces naturels sensibles et remarquables du littoral régis par le code de l’urbanisme, des espaces protégés ou reconnus au titre du code de l’environnement (parc national, réserve naturelle, parc naturel régional, site classé loi de , espace classé de protection du biotope, espace « Nature 2000 » et terrains des conservatoires d’espaces naturels), et des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type I et II.

Programme Patrimoine Emploi

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Restauration du fort de Bourlemont par un chantier d'insertion.

À travers son programme Patrimoine Emploi[11], la fondation contribue à la formation aux métiers du patrimoine et à l'insertion socioprofessionnelle de personnes en difficulté. Elle apporte une aide financière à des projets de sauvegarde ou de valorisation du patrimoine bâti réalisés dans le cadre de chantiers d’insertion de publics en difficultés (jeunes chômeurs, personnes sous main de justice, chômeurs de longue durée, etc.), à des programmes de formation aux métiers du patrimoine organisés par des écoles, centres de formations, chantiers écoles, des structures agréées ou associations spécialisées comme Union Rempart, Acta Vista[12] ou l'association CHAM (Chantiers Histoire et Architecture Médiévales).

Organisation

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Une organisation déconcentrée

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L’action de la fondation s’appuie principalement sur un réseau de 800 bénévoles et 75 salariés. Ce réseau de proximité est constitué d’un maillage de 22 délégations régionales, en métropole et en outre-mer. Le siège national est situé à Neuilly-sur-Seine et compte 45 personnes.

La Fondation du patrimoine est une organisation déconcentrée dont l’élément moteur en région est le délégué régional. Ce bénévole guide les équipes départementales, négocie avec l’environnement politique et économique et apporte avec lui un réseau de contacts et d’intervenants.

Le conseil d'administration de la Fondation du patrimoine est constitué de représentants d’organismes privés fondateurs, d'institutions publiques nationales et locales, de l’État et de ses adhérents.

Effectif par année
Année Bénévoles Salariés Sources
2014 500 60 [13]
2016 598 65 [14]
2017 566 70 [15]
2019 610 74 [16]
2020 690 77 [17]
2021 800 75

Une structure juridique originale

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La Fondation du patrimoine est à la fois une affectation de biens et un groupement de personnes[18].

Bâtie sur le modèle des fondations reconnues d’utilité publique selon le décret du , ses statuts ont été fixés par le Parlement[19]. L’État est représenté au conseil d’administration par trois commissaires du gouvernement qui n’ont pas de droit de vote. La loi a néanmoins prévu des statuts en partie dérogatoires aux statuts-types des organismes reconnus d’utilité publique approuvés par décret en Conseil d'État. En effet, les entreprises fondatrices disposent de la majorité des voix au sein du conseil d’administration de la Fondation du patrimoine. De plus, les statuts de la Fondation prévoient un dispositif d’adhésion des personnes physiques ou morales comme pour une association.

Ces spécificités ont pour but d’impliquer fortement les entreprises fondatrices dans le fonctionnement et le financement de la fondation, et de susciter une large adhésion du grand public. Influencé par le National Trust britannique, ce statut a pour but d'apporter à la fondation d’importantes ressources de cotisations ainsi qu’une importante notoriété dans l’opinion publique. 18 % des collectivités locales françaises sont adhérentes de la Fondation du patrimoine[15].

La Fondation du patrimoine a la capacité juridique d'abriter des fondations dont l’objet est compatible avec ses missions. Elle compte 12 fondations sous égide en 2018, dont la Fondation VMF.

La loi attribue la majeure partie du montant des successions en déshérence (75 %), c'est-à-dire sans héritier, à la Fondation du patrimoine[20]. Celui-ci s'élève à 5,1 millions d'euros en 2017[15].

Personnalités liées à la Fondation du patrimoine

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  • Stéphane Bern, animateur de radio et de télévision, écrivain, est un proche collaborateur de la Fondation du patrimoine, notamment à travers la Mission Patrimoine.
  • Bernard Belloc, économiste, professeur des Universités, ancien président de l'université Toulouse-I-Capitole, conseiller de Nicolas Sarkozy, président de la République, est délégué départemental de la Fondation du patrimoine dans le Tarn-et-Garonne.
  • Alain Schmitz, homme politique, ancien président du conseil départemental des Yvelines, est délégué régional de la Fondation du patrimoine pour l'Île-de-France.
  • Michel Roquejeoffre, général d'armée française, commandant des forces françaises pendant la guerre du Golfe, fut délégué départemental de la Fondation du patrimoine en Ariège jusqu'en 2014.
  • Jean-Paul Hugot, homme politique, sénateur de 1992 à 2001, est à l'origine de la création de la Fondation du patrimoine par le rapport qu'il remet en 1994 au ministre de la Culture Jacques Toubon.
  • Charles de Croisset, homme d'affaires, vice-président de Goldman Sachs Europe, membre de l’Inspection générale des finances, fut président de la Fondation du patrimoine de 2005 à 2017.
  • Dominique Vérien, femme politique, sénatrice de l'Yonne, elle déposa en 2019 une proposition de loi de modernisation des outils et de la gouvernance de la Fondation du patrimoine.

Chiffres clés

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En 2021, la Fondation du patrimoine a soutenu 3189 projets et attribué 1806 labels ; elle a obtenu 117,7 millions d'euros, dont 12,6 % par collectes, 43,6 % par mécénat et legs, 26,6 % par loto du patrimoine, 6,3 % par successions en déshérence, et le restant par subventions des collectivités territoriales, cotisations et produits financiers[21].

Le loto du patrimoine, lancé en , a permis de répartir 31 millions d’euros en 2021 pour la sauvegarde du patrimoine.

Étude d’impact

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À l'occasion de ses 25 ans (1996-2021), la Fondation du patrimoine a réalisé une étude d’impact socio-économique qualitative et quantitative des projets qu’elle soutient avec un cabinet de conseil spécialisé.

L’analyse est basée sur deux volets :

  • une évaluation macro-économique de l’activité économique et des emplois créés, à travers l’étude de 2 500 projets accompagnés par la Fondation du patrimoine,
  • ainsi qu’une analyse de 7 études de cas et 300 entretiens.

Les résultats de l’étude d'impact

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  • La Fondation du patrimoine, au travers de ses moyens d’intervention, notamment le mécénat et la collecte de dons, crée de l’engagement citoyen et une dynamique participative qui stimulent la mobilisation des financeurs publics et privés.
  • apporté par la Fondation en faveur d’un projet de restauration du patrimoine permet de générer 21  de retombées économiques (les retombées économiques comprennent les retombées directes, indirectes ou induites engendrées pendant la période de travaux et plus durablement avec l’exploitation des sites). En effet, les dépenses injectées dans l’économie locale contribuent à générer des retombées économiques immédiates et durables.
  • Enfin, cette activité économique permet de soutenir la création ou le maintien de 15 834 emplois équivalents temps plein en 2019.

Identité visuelle

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Galerie

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Références

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  1. Rapport annuel 2023 de la Fondation du Patrimoine
  2. LOI no 96-590 du 2 juillet 1996 relative à la < Fondation du patrimoine >>, (lire en ligne)
  3. Décret du 18 avril 1997 portant reconnaissance d'utilité publique et approbation des statuts de la Fondation du patrimoine (lire en ligne)
  4. « Code du patrimoine - Chapitre 3 : Fondation du patrimoine », sur codes-et-lois.fr (consulté le )
  5. « Préservons aujourd'hui l'avenir : le label de la Fondation du patrimoine », Fondation du patrimoine,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  6. « Site du sénat », sur senat.fr (consulté le )
  7. « Les 20 ans de la Fondation du Patrimoine », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  8. « Présentation de la mission Bern « Patrimoine en péril » », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  9. « Un nouveau souffle pour le patrimoine », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  10. « Loto du patrimoine : signature de la convention entre le ministère de la Culture et la Fondation du patrimoine », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  11. « La Fondation du Patrimoine crée deux nouveaux fonds nationaux », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  12. http://www.deuxpointsdeuxslash.com, « Insertion et formation professionnelle des personnes les plus démunies face à l'emploi », sur actavista.fr (consulté le )
  13. « Charles de Croisset : « Le patrimoine signifie quelque chose par rapport à l'essence de la France » », Vox patrimonia, no 12,‎ , p. 18 (lire en ligne [archive du ], consulté le ) :

    « […] grâce à la présence sur le terrain de nos 500 bénévoles et 60 salariés »

  14. « Rapport d’activités 2016 » [archive du ], sur fondation-patrimoine.org, (consulté le )
  15. a b et c « Rapport d’activités 2017 » [archive du ], sur fondation-patrimoine.org, (consulté le )
  16. « Rapport d’activités 2019 », sur fondation-patrimoine.org, (consulté le )
  17. Fondation du patrimoine, « Rapport d'activité 2020 » [PDF]
  18. « Projet de loi relatif à la "fondation du patrimoine" », sur senat.fr (consulté le )
  19. « Projet de loi relatif à la "fondation du patrimoine" », sur senat.fr (consulté le )
  20. Décret n° 2016-1487 du 3 novembre 2016 relatif à l'affectation à la Fondation du patrimoine d'une fraction du produit des successions appréhendées par l'État à titre de déshérence, (lire en ligne)
  21. rapport d'activité 2021

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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