Immigration au Canada

flux migratoires au Canada
Immigration au Canada 2000-2019 par an
  • OECD International Migration Database[1]

L'immigration au Canada représente le taux le plus élevé parmi les pays du G7.[2] Chaque année, le Canada fixe des cibles relatives au nombre d'immigrants à accueillir. Entre 2001 et 2014, une moyenne de 249 500 immigrants se sont installés au Canada chaque année[3].

Depuis le dernier siècle, l'immigration permet de soutenir la croissance démographique et économique du Canada[4]. En 2019, 341 000 personnes ont obtenu la résidence permanente, ce qui représente plus de 1 % de la population.

Chaque année, environ 150 000 immigrants deviennent des citoyens canadiens[5]. Les autorités prévoient que les habitants originaires d'un pays étranger représenteront 30 % de la population canadienne en 2030. Les candidats à l'immigration doivent cependant prouver détenir des compétences professionnelles spécifiques faisant défaut au niveau local, ou être en mesure de créer des entreprises au Canada. En raison de cette politique, 36 % des médecins, 41 % des ingénieurs et un chef d'entreprise sur trois au Canada sont issus de l'immigration (statistiques de 2023). Cette politique migratoire présente l'inconvénient de priver les pays pauvres de leur personnel qualifié et ainsi de ralentir leur développement[6]

Histoire

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Cartes montrant la population du Canada en 1851, 1871, 1901 et 1921 par régions.
 
Come to Stay, une affiche imprimée en 1880.
 
Jean Suey Zee Lee, première sino-canadienne à servir dans l'Aviation royale du Canada, a obtenu la nationalité canadienne en 1947.

À la suite de l'invasion anglaise de 1760, l'immigration canadienne se transforme d'une immigration de colonisation et d'exploration en une immigration économique. Les premiers à bénéficier de cette politique sont les loyalistes américains, chassés de leur terres plus au sud. Au XIXe siècle, l'immigration était encouragée par Londres qui faisait venir beaucoup de colons britanniques dans le Haut-Canada, la Nouvelle-Écosse et les Cantons de l'Est. À cette époque, le Canada attire notamment beaucoup d'Irlandais qui fuyaient la famine dans leur pays.

Au Québec, Henri Bourassa et Armand Lavergne, deux députés libéraux de tendance nationaliste, s’insurgent à la Chambre des communes. En 1907, ils accusent ouvertement le gouvernement fédéral de tenter d’assimiler les Canadiens français. Depuis cette période, le gouvernement du Québec a obtenu le droit en 1978 d'établir sa propre politique en matière d'immigration. Aujourd'hui, il favorise à son tour les immigrants en fonction de leur langue ou de leur pays d’origine.

La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle marquent l'expansion vers l'Ouest : Ottawa recrute des colons ukrainiens, allemands et italiens pour coloniser les provinces du Manitoba, de la Saskatchewan, de l'Alberta et de la Colombie-Britannique. À partir de 1869, le Canada met en place ses premières lois pour règlementer l'immigration. L'acte d'immigration de 1869, établi par le premier ministre John A. Macdonald vise essentiellement à assurer la sécurité des arrivants et leur départ vers l'Ouest. Les besoins en main-d'œuvre sont importants, autant dans les mines que sur les chantiers ou dans l'industrie. Les entreprises ont recours à des courtiers en emploi, les padroni, pour recruter des candidats à l'immigration d'origine italienne. En 1904-1905, la Commission royale sur l'immigration italienne présidée par le juge John Winchester enquête sur ces padroni. La commission démontra que ces intermédiaires surfacturaient leurs services aux migrants, et le Chemin de fer Canadien Pacifique congédia son principal padrone, sans pour autant faire cesser cette pratique[3].

Dès la fin du XIXe siècle, le Canada ne considère toutefois plus tous les immigrants sur un pied d'égalité. Les asiatiques sont les premiers à être considérés comme indésirables, et en particulier les Chinois. Ceux ci sont trop nombreux à rejoindre le chantier du Chemin de fer Canadien pacifique au goût des syndicalistes blancs de Colombie britannique. La première loi de l'immigration chinoise de 1885 impose à chaque immigrant chinois un droit d'entrée de 10 dollars, droit qui ne cesse d'augmenter pour atteindre 500 dollars en 1903[7]. Par la suite, l'immigration chinoise, y compris en provenance de Hongkong, est interdite avec la loi de l'immigration chinoise de 1923. La loi de 1906 marque aussi un tournant pour les immigrés en provenance des pays d'Europe du Sud et des Balkans. L'acte de l'immigration de 1906 est élaboré sous la pression des syndicats des villes de la Côte Est qui craignent une diminution du salaire journalier à la suite de l'afflux d'étrangers. Rédigée sous la direction du ministre de l'intérieur Frank Oliver, elle autorise la déportation des candidats jugés indésirables[2].

En 1913, le Canada établit un nouveau record. En effet, 400 870 immigrants arrivèrent cette année-là, un chiffre jamais égalé dans l’histoire du pays[4]. Il faut cependant noter que cette forte immigration au Canada a été accompagnée et contrebalancée par une forte émigration vers les États-Unis. Pour beaucoup d'immigrés débarquant au Canada, le pays jouait le rôle d'une porte d'entrée vers un pays à la croissance économique bien plus grande. Cet attrait pour les États-Unis a également touché les Canadiens. Ainsi, rien que pour les Canadiens-français, on estime que quasiment un million de ces derniers ont émigré vers les États-Unis, principalement les grands centres manufacturiers, de 1840 à 1930[8].

Au XXe siècle, des Polonais, des Chinois, des Juifs, des Grecs arrivent à Montréal, à Toronto et à Vancouver. Une bonne partie de la Colombie-Britannique est ainsi sinophone. Dès la deuxième moitié du XXe siècle, la plupart des immigrants viennent de l'Asie et récemment, de l'Afrique et du Moyen-Orient.

Le Canada a longtemps eu une politique migratoire très stricte, notamment à l'égard des juifs. Entre l'instauration de la dictature hitlérienne en Allemagne en 1933 et la création de l’État d’Israël en 1948, seuls 5 000 juifs ont été acceptés au Canada, alors que les persécutions se généralisaient en Europe. Le refus de Mackenzie King en 1939 d’autoriser le paquebot Saint Louis, qui transportait plusieurs centaines de réfugiés, à accoster, est emblématique de cette politique[9].

Politique d'immigration

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L'application de la politique et des lois sur l'immigration est assurée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, un des ministères du gouvernement du Canada. Le ministère[10] :

  • effectue les vérifications requises et approuve l’admission des immigrants, des étudiants étrangers, des visiteurs et des travailleurs temporaires désirant obtenir un titre de séjour ;
  • réinstalle les réfugiés, les protège et leur offre l’asile ;
  • aide les nouveaux arrivants à s’adapter à la société (économique et politique) canadienne et à acquérir la citoyenneté ;
  • gère l’accès au Canada de manière à protéger la sécurité et la santé de ses habitants, de même que préserver l’intégrité des lois canadiennes.

Le IRCC propose plusieurs programmes aux candidats étrangers à l'immigration au Canada[11] :

  • travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec : pour les personnes sélectionnées par le gouvernement du Québec afin de s’établir dans la province et d’y travailler ;
  • travailleurs qualifiés et professionnels : pour les individus qui veulent s’établir et travailler au Canada, hors du Québec ;
  • catégorie de l’expérience canadienne : pour les personnes qui ont acquis une expérience de travail récente au Canada ou qui ont gradué et récemment travaillé au Canada ;
  • investisseurs, entrepreneurs et travailleurs autonomes : pour les immigrants qui veulent lancer une entreprise au Canada ;
  • candidats des provinces : une des provinces ou un des territoires du Canada peut nommer des candidats pour s'établir et travailler dans cette province ou ce territoire ;
  • parrainage : un résident permanent ou un citoyen canadien peut parrainer certains membres de sa famille à immigrer à certaines conditions.

Le candidat à l'immigration obtient le statut de résident permanent à l'issue de sa procédure d'immigration. Ce statut lui permet de vivre, d'étudier et de travailler partout sur le territoire canadien et de bénéficier de la plupart des avantages sociaux auxquels les citoyens canadiens ont droit, notamment à l’assurance-maladie. Le statut de résident permanent n'est cependant pas celui de citoyen et n'aboutit pas toujours à l'obtention de la citoyenneté. Ce dernier permet uniquement d'en déposer la demande.

Ainsi, si Canada reste l’une des principales destinations pour l'immigration le monde, il faut également noter que cette immigration est rigoureusement sélectionnée : les résidents permanents sont en moyenne davantage diplômés et qualifiés que ceux acceptés aux États-Unis ou en Europe[12].

Système Entrée express

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Entrée express a remplacé le système initial de vérification des immigrés par le principe « celui qui arrivera premier recevra premier ». Entrée express utilise le système de points appelé Système de classement global (SCG) pour classer automatiquement les candidats intéressés et sélectionner les candidats les plus compétitifs pour l’immigration[13]. Les principaux facteurs considérés sont l’âge, le niveau de scolarité, la maîtrise de l’anglais et/ou du français et l’expérience de travail au Canada. Le candidat idéal est de 20 à 29 ans avec le niveau de scolarité élevé et bonne maîtrise de l’anglais ou du français[14].

Le tirage Entrée express a lieu environ toutes les deux semaines. Le gouvernement fédéral fixe un score minimum en utilisant le Système de classement global. Tous les candidats qui obtiennent un score supérieur au score minimum reçoivent une invitation officielle à présenter une demande de résidence permanente[15].

Si plusieurs candidats ont le même score du SCG, le système trie les demandes par la date et l’heure auxquelles le profil du candidat a été soumis au système[16]. Dans de rares cas, le gouvernement peut limiter les tirages pour certains programmes d’immigration Entrée express.

Le gouvernement du Canada établit un quota annuel d’immigrés qui viennent au pays à l’aide du système Entrée express. En 2022 le but sera de 91150 personnes[17].

Le score du SCG le plus faible pour recevoir une invitation était de 199 points en mai 2017[18]. En 2020 le score du SCG le plus faible pour les demandeurs était de 415 points sur 1200. La même année les candidats d’Entrée express ont reçu 107 350 invitations[19].

Candidats à l'immigration à destination de la province de Québec

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En vertu de l’Accord Québec-Canada, la province de Québec sélectionne elle-même ses immigrants en fonction de critères qui lui sont propres. Dans le cadre du programme des travailleurs qualifiés, une grille de points[20] reposant sur la formation, l'expérience professionnelle, l'âge, la connaissance du français et de l'anglais, etc., permet d'évaluer l'admissibilité du candidat. Si celui-ci est sélectionné, un Certificat de Sélection du Québec (CSQ) lui est accordé. À l'aide de ce CSQ, le candidat peut poursuivre sa procédure d'immigration au niveau fédéral. À l'issue d'un contrôle médical et d'une enquête de sécurité, le statut de résident permanent lui est accordé par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Bien que sélectionné par le Québec, ce statut lui permet de vivre et de travailler partout au Canada.

La province de Québec administre ses propres programmes d’immigration qui comportent des critères de sélection qui diffèrent de ceux des programmes fédéraux.Présentement, les personnes qui désirent s’établir au Québec peuvent déposer une demande dans l’une des catégories suivantes[21] :

  • programme des travailleurs qualifiés du Québec ;
  • immigration des Gens d’affaires ;
  • programme d’expérience québécoise.

Crise dans le regroupement familial : augmentation des délais d'attente au Québec

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Au Québec, le système est tendu par la disparité entre le nombre de demandes et les places disponibles pour la réunification familiale[22]. La province de Québec a établi des plafonds d'admission pour le regroupement familial, qui ont presque été atteints cette année. Cela a empêché le gouvernement fédéral d'accélérer le traitement des demandes sans dépasser les quotas fixés par le gouvernement de Legault[22].Les délais d'attente pour parrainer un conjoint vivant à l'étranger ont doublé par rapport aux autres provinces du Canada, passant de 27 à 33 mois[22], presque trois ans, tandis qu'ils restent à 13 mois dans les autres provinces. Cette augmentation des délais d'attente est due à une limite du nombre de places disponibles pour la réunification familiale au Québec, ce qui fait que le nombre de familles en attente augmente, atteignant 38 800 en juillet[22].

Le Ministère de l'Immigration du Québec a exprimé sa compréhension pour le stress que ces retards causent aux familles et a attribué la responsabilité au gouvernement fédéral[22]. Le traitement des dossiers après l'émission des certificats de sélection du Québec relève de la responsabilité du gouvernement fédéral, qui admet les personnes selon les objectifs fixés par le Québec. Le gouvernement fédéral, à son tour, fait face à ses propres défis avec des retards importants dans ses programmes, comme le souligne le rapport du vérificateur général du Canada[22].Les critiques de l'opposition soutiennent que le gouvernement de Legault a la capacité d'agir pour réduire l'attente de milliers de familles. Cependant, avec le plafond d'admission presque atteint, le gouvernement fédéral a du mal à accélérer les demandes sans dépasser les quotas. Cela a conduit à des critiques de la part des porte-parole de l'opposition en matière d'immigration, qui suggèrent que les délais vont continuer à augmenter et présentent le risque de poursuites judiciaires pour des retards excessifs[22].

Monsef Derraji, porte-parole du Parti Libéral en matière d'immigration, qualifie la situation d'inhumaine, mettant en lumière la difficulté émotionnelle des familles s��parées et remettant en question l'insistance du gouvernement provincial. De plus, les membres de collectifs tels que Québec réunifié soulignent l'importance pour la population de comprendre que le regroupement familial pourrait toucher n'importe qui à l'avenir[22].Les experts suggèrent que le gouvernement du Québec pourrait modifier les pourcentages de ses seuils d'immigration, en diminuant la part des immigrants économiques et en augmentant celle de la réunification familiale, une catégorie qu'ils considèrent comme ayant été oubliée dans le plan d'immigration, mais qui est essentielle pour la société[22].

Intégration économique des immigrants

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Immigrer dans un nouveau pays peut comporter plusieurs difficultés notamment sur le plan économique. Plusieurs immigrants parviennent à s’intégrer sur le marché du travail du pays d’accueil, soit le Canada, alors que, pour d’autres, ce processus est laborieux.

Quelques causes peuvent influencer négativement l’accès à un emploi pour les immigrants. La barrière linguistique est l’une d’elles. Selon plusieurs études, ne pas parler ou parler qu'imparfaitement la langue officielle du pays d’accueil limite les chances d’obtenir un emploi[23]. La barrière linguistique représente aussi, dans certains cas, une source de discrimination envers les immigrants. Selon un sondage réalisé auprès de compagnies diverses, certaines mentionnent préférer engager un individu n’ayant pas d’accent lorsque ce dernier s’exprime en français ou en anglais, soit les deux langues officielles du Canada[24]. La barrière linguistique n’est pas la seule source de discrimination possible. La couleur de la peau, les coutumes ainsi que les religions peuvent être des facteurs diminuant la possibilité d’accéder à un emploi pour les immigrants. Quelques chercheurs ont démontré que certains employeurs priorisent les personnes d’origine canadienne plutôt que les personnes faisant partie d’autres nationalités afin de combler un poste dans leur entreprise[25].

La non-reconnaissance des diplômes acquis à l’étranger constitue un facteur pouvant influencer le processus d’intégration économique des immigrants. Les systèmes scolaires des pays sont différents, et donc, selon plusieurs études, il est difficile d’évaluer l’équivalence des diplômes[26]. Dans plusieurs cas, l’expérience de travail acquise dans le pays d’origine n’est pas prise en compte dans le pays d’accueil. Ceci constitue une cause des difficultés reliées à l’insertion socio-professionnelle puisque, comme le démontre une étude, certains employeurs sont réticents à engager des immigrants en raison de leur manque d’expérience sur le marché du travail canadien[27].

Les difficultés d’insertion sur le marché du travail canadien entraînent quelques conséquences. Les immigrants ne trouvant pas un emploi dans leur pays d’accueil décident, dans certains cas, de quitter ce pays afin d’obtenir plus d’opportunité au niveau professionnel ailleurs[28]. Parmi les gens qui ont quitté le Canada, plusieurs affirment dans un sondage qu’ils se sont sentis exclus et ressentent qu’ils ont été mal accueillis par le pays d’accueil[29].

Les immigrants ayant parvenu à s’insérer sur le marché du travail canadien ont parfois des conditions plus désavantageuses que les natifs. Le taux de chômage des immigrants est plus élevé que celui des Canadiens d’origine. En 2014, au Québec, le taux de chômage des immigrants se situe à 11,1 % alors que celui des natifs est de 7,1 %[30]. Quelques études ont aussi affirmé que le salaire des immigrants est, dans certains cas, plus bas que celui des natifs pour le même emploi. Cette différence de salaire a un impact sur les conditions de vie des immigrants puisqu’ils possèdent moins de revenus pour subvenir aux besoins de leur famille[31].

Données statistiques sur l’immigration

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Résidents permanents par catégorie admis au Canada en 2010[32] et 2023 [33] :

Catégorie 2023 2010
Immigrants économiques 272 744 186 913
Regroupement familial (parrainage) 109 730 60 220
Personne protégée et Réfugiés 74 979 24 696
Total pour les motifs d'ordre humanitaire et autres 14 355 8 845
Catégorie non déclarée 7
Total 471 808 280 681

Résidents permanents par province ou territoire admis au Canada en 2010 :

Province ou territoire
Ontario 118 113
Québec 53 982
Colombie-Britannique 44 184
Alberta 32 643
Manitoba 15 808
Saskatchewan 7 615
Île-du-Prince-Édouard 2 581
Nouvelle-Écosse 2 408
Nouveau-Brunswick 2 125
Terre-Neuve-et-Labrador 714
Yukon 350
Territoires du Nord-Ouest 137
Nunavut 19
Province/territoire non déclarés 2
Total 280 681

Résidents permanents admis au Canada selon la nationalité

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2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 2023
Total 259.023 260.404 271.847 296.380 286.480 321.120 341.180 184.585 405.795 437.500 471.815
  Inde 33.087 38.341 39.530 39.790 51.590 69.975 85.585 42.865 127.885 118.215 139.785
  Chine 34.130 24.640 19.533 26.855 30.250 29.715 30.260 16.525 30.990 31.835 31.780
  Philippines 29.545 40.035 50.846 41.810 40.865 35.045 27.815 10.975 18.010 22.090 26.965
  Afghanistan 2.003 1.489 2.587 2.635 3.455 3.560 3.900 1.660 8.560 23.750 20.180
  Nigeria 4.172 4.161 4.133 4.425 5.445 10.920 12.595 6.360 15.585 22.115 17.465
  Pakistan 12.603 9.128 11.330 11.335 7.655 9.485 10.790 6.230 8.460 11.600 11.860
  Cameroun 2.438 2.107 2.034 2.110 2.285 2.275 2.950 1.595 2.560 6.270 11.685
  Iran 11.291 16.781 11.669 6.485 4.730 5.510 6.055 3.810 11.300 11.110 10.680
  Érythrée 1.719 1.974 2.171 4.630 4.690 5.690 7.025 2.640 5.365 7.660 10.680
  États-Unis 8.501 8.496 7.522 8.410 9.140 10.925 10.800 6.380 11.940 10.410 10.640
  France 5.623 4.717 5.807 6.350 6.625 6.175 4.960 4.605 12.685 14.150 10.075
  Syrie 1.008 2.051 9.853 34.925 12.060 12.045 10.120 4.880 5.585 8.505 9.345
  Hong Kong 630 1.210 1.360 1.530 1.540 1.045 2.295 3.710 7.535
  Brésil 1.712 1.916 1.750 1.725 2.760 3.950 5.290 3.695 11.425 7.335 7.225
  Viêt Nam 2.112 2.495 2.591 2.445 2.505 3.050 4.220 2.610 5.755 5.460 6.605
  Maroc 3.276 2.491 2.736 2.115 2.265 2.780 3.020 2.980 2.945 6.390 6.410
  Mexique 3.995 4.477 3.231 3.400 3.135 3.315 3.460 2.430 5.145 5.220 5.735
  République démocratique du Congo 2.050 1.749 1.715 2.550 2.355 2.385 2.290 865 1.820 3.250 5.320
  Algérie 4.325 3.653 2.835 2.820 2.635 3.220 3.705 2.720 3.075 6.175 5.245
  Corée du Sud 4.509 4.463 4.091 4.010 3.980 4.805 6.110 3.285 8.240 5.455 5.205
  Somalie 2.030 1.491 1.157 1.310 1.390 2.140 3.275 1.010 2.075 2.940 5.170
  Bangladesh 3.792 2.233 3.304 3.230 3.190 3.200 3.395 1.620 2.995 4.055 5.020
  Royaume-Uni 5.827 5.764 5.451 5.810 5.310 5.670 5.635 3.410 6.555 4.485 4.990
  Colombie 3.631 2.860 2.181 2.440 2.235 2.270 2.275 1.520 4.050 3.775 4.660
  Liban 2.175 2.224 2.135 1.935 1.365 1.500 1.965 1.280 1.830 4.095 4.555
  Jamaïque 2.479 3.054 3.426 3.560 3.830 3.875 3.970 2.030 4.030 4.245 4.340
  Éthiopie 1.608 1.339 1.365 1.940 1.910 2.030 2.470 1.100 2.145 2.665 3.820
  Tunisie 1.624 1.472 1.283 1.310 1.430 1.935 1.980 1.435 2.640 4.675 3.470
  Ukraine 2.487 2.537 2.378 3.365 3.310 3.135 2.990 1.675 3.190 3.575 3.110
  Haïti 4.152 3.315 2.727 2.920 2.345 2.100 1.460 990 2.865 4.400 3.015
  Sri Lanka 2.394 2.606 1.795 1.545 2.150 2.165 2.235 1.340 2.025 2.510 2.710
  Côte d'Ivoire 1.170 1.521 1.361 1.765 1.405 1.470 1.850 1.195 1.110 2.990 2.585
  Égypte 4.165 3.159 3.763 3.090 2.865 3.515 3.655 1.905 3.220 2.890 2.515
  Irak 4.918 3.897 3.980 2.410 4.740 5.330 4.445 1.950 2.690 3.475 2.335
  Turquie 875 920 1.110 2.080 2.830 2.120 4.620 2.420 2.070
  Afrique du Sud 960 1.075 1.555 1.820 1.790 1.125 1.615 1.745 2.065
  Soudan 425 715 1.250 845 1.745 1.575 2.010
  Russie 2.462 1.772 2.147 2.430 2.290 2.145 2.260 1.385 2.005 1.615 1.770
  Népal 1.308 1.219 1.500 750 1.110 1.400 1.410 565 1.020 1.440 1.760
  Ghana 685 895 1.025 545 1.055 1.240 1.645
  Venezuela 930 1.020 1.010 1.525 1.580 1.055 2.625 1.545 1.390
  Jordanie 1.140 1.265
  Australie 1.120 1.295 1.414 1.695 1.865 2.190 2.140 1.180 2.080 1.265 1.260
  Kenya 1.230
  Italie 830 980 1.060 1.180 1.410 760 1.720 1.095 1.210
  Maurice 1.020 1.155
  Allemagne 1.155
Apatrides 1.080
  Taïwan 1.075
  Cuba 1.040
  Burundi 1.030
  Japon 1.015
  Irlande 1.010
  Portugal 1.005
  Rwanda 1.005

Source : Statistiques du gouvernement Canadien https://ouvert.canada.ca/data/fr/dataset/f7e5498e-0ad8-4417-85c9-9b8aff9b9eda?_ga=2.65242605.290504232.1526039597-1618667067.1508951852 Dernière modification le . Les ressortissants des pays comptant moins de 1000 nouveaux résidents permanents par an ne sont pas repris dans ce tableau.

Population du Canada par pays de naissance

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2011 2016 2021
Total 32.852.325 34.460.060 36.991.981
  Canada 25.635.025 26.240.515 28.630.476
Extérieur du   Canada 7.217.295 8.219.550 8.361.505
Total Asie 3.239.015 3.948.640 4.307.000
Total Europe 2.226.100 2.229.440 1.967.620
Total Amérique (Hors Canada) 1.165.465 1.281.145 1.200.895
Total Afrique 522.970 689.630 821.735
Total Océanie 63.630 70.570 61.900
  Inde 572.435 728.160 898.050
  Philippines 502.295 626.090 719.580
  Chine 585.555 752.650 715.835
  Royaume-Uni 559.455 528.245 464.135
  États-Unis 316.165 338.220 256.085
  Pakistan 161.380 210.090 234.105
  Hong Kong 209.775 215.550 213.855
  Italie 260.250 242.255 204.065
  Iran 125.825 160.680 182.940
  Viêt Nam 168.420 175.760 182.095
  Jamaïque 129.125 144.220 145.360
  Corée du Sud 132.940 149.615 138.355
  Sri Lanka 135.400 134.750 136.240
  Pologne 154.395 149.390 135.030
  Portugal 140.310 143.160 128.795
  Allemagne 171.870 168.010 126.470
  France 112.575 138.645 121.525
  Haïti 86.075 97.140 99.945
  Syrie 22.725 56.055 97.595
  Liban 83.375 92.000 95.730
  Mexique 86.175 95.410 90.585
  Roumanie 83.860 91.560 86.770
  Guyana 88.920 88.570 85.530
  Irak 50.980 70.515 84.130
  Russie 75.350 82.555 81.840
  Maroc 58.830 72.905 81.770
  Nigeria 31.720 52.380 81.290
  Ukraine 67.335 77.470 81.130
  Colombie 64.935 74.595 80.570
  Algérie 52.535 67.045 79.660
  Pays-Bas 100.935 91.510 75.830
  Égypte 51.520 67.195 73.710
  Bangladesh 47.180 61.675 70.090
  Taïwan 69.550 68.385 65.365
  Trinité-et-Tobago 68.790 66.330 65.035
  Afghanistan 42.120 53.850 62.450
  Grèce 67.245 65.225 54.715
  Afrique du Sud 43.465 48.015 51.590
  Salvador 44.800 49.260 49.445
  Brésil 27.030 40.445 48.455
  Éthiopie 25.430 34.295 41.720
  Croatie 40.475 41.650 36.675
  Bosnie-Herzégovine 36.460 36.635 35.925
  Turquie 27.145 29.335 35.270
  République démocratique du Congo 19.890 27.800 33.110
  Somalie 22.800 28.190 32.495
  Serbie 33.030 34.325 31.925
  Pérou 27.725 31.315 31.420
  Érythrée 8.170 15.745 31.385
  Hongrie 40.935 38.840 31.050
  Japon 33.330 37.365 30.870
  Arabie saoudite 23.155 29.330 29.585
  Émirats arabes unis 15.345 23.220 29.405
  Israël 25.145 30.265 29.395
  Irlande 30.890 34.090 29.295
  Kenya 25.720 28.840 29.235
  Cameroun 9.090 20.665 28.755
  Chili 26.795 28.570 27.755
  Venezuela 18.175 24.365 27.320
  Ghana 21.985 24.660 25.755
  Australie 25.365 30.895 25.200
  Malaisie 23.710 25.690 25.060
  Fidji 24.925 25.155 24.715
  Tunisie 12.065 19.720 24.425
  Cambodge 24.275 23.830 23.065
  Tanzanie 19.905 21.260 21.595
  Moldavie 12.840 18.280 20.070
  République tchèque 21.310 21.980 19.550
  Cuba 13.935 18.900 19.545
  Argentine 19.665 20.740 19.530
  Népal 9.050 15.220 19.370
  Bulgarie 17.820 19.045 19.170
  Côte d'Ivoire 6.380 12.850 18.865
  Belgique 21.290 21.365 18.650
  Suisse 20.790 21.960 18.185
  Maurice 13.615 16.935 18.140
  Guatemala 16.170 18.725 18.035
  Albanie 14.055 16.235 17.825
  Koweït 13.495 16.260 17.655
  Jordanie 10.170 14.260 17.530
  Thaïlande 14.985 17.830 17.410
  Équateur 14.360 16.045 16.320
  Soudan 14.020 11.130 16.025
  Indonésie 14.870 15.965 16.025
  Ouganda 12.145 13.710 15.120
  Kazakhstan 9.600 13.325 13.965
  Laos 14.540 14.625 13.955
  Saint-Vincent-et-les-Grenadines 12.865 13.930 13.930
  Autriche 17.685 16.615 13.835
  Barbade 15.855 15.080 13.665
  République dominicaine 9.035 11.880 13.360
  Burundi 6.880 9.155 13.050
  Slovaquie 13.485 15.385 12.955
  Singapour 12.190 13.375 12.560
  Biélorussie 10.735 11.520 12.190
  Zimbabwe 10.240 11.670 12.050
  Espagne 10.700 11.510
  Danemark 15.405 13.335 11.000
  Nicaragua 9.140 10.265 10.735
  Macédoine du Nord 9.730 10.490 10.195
  Sénégal 5.690 8.860 10.045

Note : Les pays de naissance de moins de 10000 individus ne sont pas repris dans ce tableau.

Source : Enquête nationale de 2011 publiée par les « statistiques Canada » lien : http://www12.statcan.gc.ca/nhs-enm/2011/dp-pd/dt-td/Rp-fra.cfm?LANG=F&APATH=3&DETAIL=0&DIM=0&FL=A&FREE=0&GC=0&GID=0&GK=0&GRP=1&PID=105411&PRID=0&PTYPE=105277&S=0&SHOWALL=0&SUB=0&Temporal=2013&THEME=95&VID=0&VNAMEE=&VNAMEF= http://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/dp-pd/dt-td/Rp-fra.cfm?LANG=F&APATH=3&DETAIL=0&DIM=0&FL=L&FREE=0&GC=0&GID=0&GK=0&GRP=1&PID=110525&PRID=10&PTYPE=109445&S=0&SHOWALL=0&SUB=0&Temporal=2017&THEME=120&VID=0&VNAMEE=&VNAMEF= Chiffres 2021 : https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/fr/tv.action?pid=9810034901

Acquisition de la nationalité Canadienne par pays d'origine

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2014 2015 2016 2019
Total 262.643 252.187 147.791 250.498
  Philippines 27.988 31.954 23.890 33.922
  Inde 26.558 28.167 16.615 31.337
  Iran 9.421 8.994 3.926 14.041
  Chine 21.657 20.088 10.797 13.456
  Pakistan 9.082 8.676 5.777 11.187
  Syrie 1.084 1.252 657 6.434
  États-Unis 7.361 6.666 4.495 5.623
  France 5.728 4.548 2.208 5.502
  Irak 4.625 5.202 2.985 5.056
  Nigeria 3.020 4.235 2.158 5.021
  Royaume-Uni 7.334 6.261 4.169 4.844
  Algérie 7.279 5.695 2.467 4.245
  Égypte 3.526 4.762 2.394 4.109
  Mexique 3.602 3.495 2.112 3.770
  Bangladesh 4.320 3.563 1.731 3.602
Autres pays 118.195 108.179 61.016 98.349

Source : Perspectives migrations internationales 2022 : https://www.oecd-ilibrary.org/sites/30fe16d2-en/1/4/1/index.html?itemId=/content/publication/30fe16d2-en&_csp_=97175d429ae5e4e04cd3cccbbfc84945&itemIGO=oecd&itemContentType=book

Œuvres de fiction

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  • Murdoch sans frontières : dans le 4e épisode de la 12e saison de la série télévisée canadienne les Enquêtes de Murdoch, l'inspecteur enquête sur le meurtre d'un juge à l'immigration sur fond tensions syndicales dans le secteur du bâtiment. Les ouvriers syndiqués accusent les entrepreneurs de dumping social en favorisant l'arrivée de migrants au Canada.
  • Concubine's Children (en) : un roman historique de Denise Chong (ancienne conseillère de Pierre Trudeau et écrivaine canadienne d'origine chinoise) raconte l'histoire d'une famille obligée de quitter la Chine[34].

Notes et références

modifier
  1. « International Migration Database », sur stats.oecd.org (consulté le )
  2. a et b « Acte de l’immigration, 1906 | Pier 21 », sur quai21.ca (consulté le )
  3. a et b « Commission royale sur l’immigration italienne, 1904-1905 | Pier 21 », sur quai21.ca (consulté le )
  4. a et b « Le record de l’immigration de 1913 – Voyage à travers le Québec », sur grandquebec.com (consulté le ).
  5. Réfugiés et Citoyenneté Canada Immigration, « Rapport annuel au Parlement sur l’immigration, 2020 », sur www.canada.ca, (consulté le )
  6. « Le Canada accueille un nombre record d’immigrés », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  7. « Acte de l’Immigration Chinoise, 1885 | Pier 21 », sur quai21.ca (consulté le )
  8. « Migration vers les États-Unis – Voyage à travers le Québec », sur grandquebec.com (consulté le ).
  9. https://www.cbc.ca/news/canada/holocaust-historian-irving-abella-1.6510246
  10. Citoyenneté et Immigration Canada, http://www.cic.gc.ca/francais/ministere/faisons.asp
  11. Citoyenneté et Immigration Canada, http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/index.asp
  12. Paul May, « Le Canada : pays de « l’immigration choisie » ? », Hommes et Migrations, no 1336,‎ , p. 196–203 (lire en ligne, consulté le )
  13. « Comment fonctionne Entrée express », sur canada.ca (consulté le )
  14. « Critères du Système de classement global (SCG) – Entrée express », sur canada.ca (consulté le )
  15. « Express Entry Rounds of Invitations 2021 », sur immiboards.com (consulté le )
  16. « The Express Entry Program », sur greatnorthvisa.com (consulté le )
  17. « Plan des niveaux d’immigration 2020-2022 », sur publicsafety.gc.ca (consulté le )
  18. « May 31 Express Entry Draw: Lowest Ever Points Requirement for FSW and CEC Candidates », sur cicnews.com (consulté le )
  19. « 2020: A record-breaking year for Express Entry », sur cicnews.com (consulté le )
  20. [PDF]« Grille synthèse des facteurs et critères applicable à la sélection des travailleurs qualifiés », sur www.immigration-quebec.gouv.qc.ca
  21. « Immigration au Québec – Aperçu », sur immigration.ca
  22. a b c d e f g h et i Suzanne Colpron, « Regroupement familial: Les délais bondissent à presque trois ans », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. DIOH, Marie-Laure et Michel RACINE. « Insertion professionnelle des immigrants qualifiés en technologies de l’information à Québec : À l’encontre des mythes, témoignages d’immigrants », dans Relations industrielles, vol 72, no 4, 2017, p. 763-784, https://erudit-saintjerome.proxy.collecto.ca/fr/revues/ri/2017-v72-n4-ri03400/1043175ar/, page consultée le 22 février 2021.
  24. SIMONSEN, Christiana. Méthodes de recherche d’emploi, formelles et informelles, et accès à des emplois qualifiés des immigrants brésiliens à Montréal, Mémoire (Relations industrielles), Montréal, Université de Montréal, École de relations industrielles, Faculté des arts et des sciences, 2017, 131 p., https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/19395/Simonsen_Christiana_memoire_2016.pdf?sequence=2&isAllowed=y, page consultée le 25 février 2021.
  25. GIRARD, Magali, Michael SMITH et Jean RENAUD. « Intégration économique des nouveaux immigrants: adéquation entre l’emploi occupé avant l’arrivée au Québec et les emplois occupés depuis l’immigration », Dans The Canadian Journal of Sociology / Cahiers canadiens de sociologie, volume. 33, numéro 4, 2008, p. 791‑814, https://www.jstor.org/stable/canajsocicahican.33.4.791?seq=1#metadata_info_tab_contents, page consultée le 25 février 2021.
  26. DIOH, Marie-Laure et Michel RACINE. Op. Cit.
  27. SIMONSEN, Christiana. Op. Cit.
  28. GALARNEAU, Diane, et René MORISSETTE. « Scolarité des immigrants et compétences professionnelles requises », dans Statistique Canada, Décembre 2008, 16p., https://www.researchgate.net/profile/Rene-Morissette/publication/266449870_Scolarite_des_immigrants_et_competences_professionnelles_requises/links/54f3a5510cf2f9e34f07e6ce/Scolarite-des-immigrants-et-competences-professionnelles-requises.pdf, page consultée le 26 février 2021.
  29. BOUDARBAT, Brahim, et Maude BOULET. « Immigration au Québec : Politiques et intégration au marché du travail », CIRANO Project Reports, 99 p., 1 janvier 2010, https://www.researchgate.net/profile/Maude-Boulet/publication/46475659_Immigration_au_QuACbec_Politiques_et_intACgration_au_marchAC_du_travail/links/57364f4a08ae298602e0a3c8/Immigration-au-QuACbec-Politiques-et-intACgration-au-marchAC-du-travail.pdf, page consultée le 26 février 2021.
  30. BASTIEN, Nicolas. Les déterminants de l’accès à un premier emploi qualifié chez les immigrants récents au Canada : analyse de l’impact des caractéristiques pré-migratoires et post-migratoires des immigrants., Mémoire de maîtrise (Démographie), Québec, Université du Québec, Institut national de la recherche scientifique, 2011, 77 p., http://espace.inrs.ca/id/eprint/18/1/Bastien_Nicolas_MA_2011.pdf, page consultée le 25 février 2021.
  31. BASTIEN, Nicolas. Op. Cit.
  32. Public Services and Procurement Canada Government of Canada, « Information archivée dans le Web », sur publications.gc.ca (consulté le )
  33. Réfugiés et Citoyenneté Canada Immigration, « Rapport annuel au Parlement sur l’immigration, 2024 », sur www.canada.ca, (consulté le )
  34. Chong, Denise., The concubine's children, Penguin Books, (ISBN 0-14-025427-7 et 9780140254273, OCLC 34505367, lire en ligne)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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