Rijksmuseum Amsterdam
Type |
Musée national (d), musée d'art, musée historique (d), société de production (en) |
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Ouverture |
31 mai 1800[1] |
Président |
Jaap de Hoop Scheffer (depuis ) |
Surface |
10 000 m2 de surface d'expositions |
Visiteurs par an |
675 325 (2020) 2 678 393 (2019) 2 344 353 (2018) 2 148 304 (2017) 2 259 987 (2016) 2 345 666 (2015) 2 450 000 (2014)[2] |
Site web |
Collections | |
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Nombre d'objets |
Environ 1 000 000, dont 8 000 exposés |
Construction |
- |
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Architecte | |
Protection |
Pays |
Pays-Bas |
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Commune | |
Adresse | |
Coordonnées |
Le Rijksmuseum Amsterdam (en français : « Musée d'État d'Amsterdam »), couramment abrégé en Rijksmuseum (prononcé en néerlandais : [ˈrɛi̯ksmyˌzeːjʏm]), est un musée national néerlandais, situé dans la capitale Amsterdam et consacré aux beaux-arts, à l'artisanat et à l'histoire du pays. Il est le plus important musée des Pays-Bas quant à la fréquentation et au nombre d'œuvres d'art avec plus de 2 450 000 visiteurs en 2014 pour un fonds d'environ un million de pièces.
Situé entre le Stadhouderskade et la Museumplein (également connue en français en tant que place du Musée), dans le Museumkwartier (Oud-Zuid), il présente au public, à travers plus de 200 salles d’exposition, une vaste collection d'art, principalement de peintures du siècle d'or néerlandais. Le musée possède en outre une riche collection d’objets d'art asiatiques. Au Rijksmuseum est notamment attaché le Rijksprentenkabinet (« Cabinet national des estampes »).
Histoire des collections
[modifier | modifier le code]Les collections du musée ont pour point de départ les œuvres d’art réunies au fil des siècles par la famille des stathouders. Après la fuite du dernier stathouder Guillaume V en 1795, le gouvernement de la République batave fait main basse sur ce qui reste de la collection. Les Français emmènent à Paris par bateau la plus grande partie de celle-ci. Le , à l’initiative d’Alexander Gogel, alors ministre des Finances, la décision est prise de placer les œuvres restantes — constituées d’art italien, de portraits de la famille d’Orange et de raretés du patrimoine national — dans un musée national, suivant ainsi l’exemple français.
Le musée, sous le nom d’origine de Nationale Kunst-Galerij (« Musée d’art national »), ouvre ses portes le dans la Huis ten Bosch de La Haye, bâtiment qui est confisqué lui aussi. Le collectionneur d’art amstellodamois Cornelis Sebille Roos (1754-1820) est le premier directeur du musée et, de ce fait, il est, en collaboration avec Gogel, responsable des premières acquisitions, parmi lesquelles Le Cygne menacé de Jan Asselyn. En 1806, le frère de Napoléon Bonaparte, Louis Bonaparte, monte sur le trône comme roi de Hollande, et l’institution prend alors le nom de Koninklijk Museum (« Musée royal »).
En 1808, Louis Bonaparte fait déménager le musée à Amsterdam où, à partir de 1809, il est abrité en même temps que la collection artistique de la ville (dont La Ronde de nuit) à l’étage supérieur du Paleis op de Dam. Le nouveau directeur, Cornelis Apostool (1762-1844), est chargé de l’établissement du catalogue des objets[3]. En 1817, la collection du Rijks Museum — comme il s’appelle alors depuis l’accession au trône de Guillaume Ier — est transférée dans la Trippenhuis, un bâtiment construit au XVIIe siècle par une famille d’armuriers. La maison accueille également la collection d’estampes de La Haye, tandis que les objets historiques rejoignent le Cabinet des curiosités, construit à La Haye en 1820. Sous la direction d’Apostool, contrairement à ce qui est le cas avec Roos, son prédécesseur, les acquisitions importantes sont rares[4].
L'acquisition de la collection que le banquier d'Amsterdam Adriaan Van der Hoop a léguée en 1854 à la municipalité va dès lors de soi. Cependant, on ne pense pas alors que l'intérêt des deux cent vingt-quatre peintures suffira à attirer les étrangers dans la ville. Les autorités posent comme condition que 40 000 florins sur les 50 000 auxquels se montent les droits de succession soient payés par des contributions privées volontaires. Ainsi, si quelques citoyens aisés n'ont pas le désir de garder aux Pays-Bas ces œuvres, celles-ci se retrouveront pour la plupart sans doute dispersées hors des frontières du pays.
En 1885, la construction du Rijksmuseum actuel, sur les plans de Pierre Cuypers, est achevée. Ce bâtiment n’accueille pas seulement les collections citées précédemment, mais aussi la collection d’œuvres de maîtres contemporains qui se trouvent depuis 1838 à Haarlem, et celle du Nederlandsch Museum voor Geschiedenis en Kunst (« Musée néerlandais d’histoire et d’art ») de La Haye, laquelle constitue la base du département Histoire néerlandaise[5].
Au moment de la Seconde Guerre mondiale, le directeur de l'époque, Frederick Schmidt-Degener (1881-1941), prend la décision dès l'annonce du conflit de mettre en sécurité les œuvres les plus importantes. Celles-ci sont dans un premier temps transportées dans les abris antiaériens situés près de Zandvoort et Heemskerk. Par la suite, en avril 1942, elles sont de nouveau déménagées et placées dans une salle forte spécialement aménagée dans des galeries souterraines de la montagne Saint-Pierre, aux environs de Steenwijk et Maastricht. Les œuvres ne quittent cependant pas toutes Amsterdam, puisque le musée restera ouvert au public durant les années de guerre[6].
En 2008, Wim Pijbes (né en 1961) est désigné comme successeur de Ronald De Leeuw au poste de directeur général. Ce que Pijbes considère comme sa mission la plus importante est de replacer en tête de l’agenda « de urgentie » (« l’urgence ») du Rijksmuseum. Il qualifie de « funeste » la mesure prise de fermer le musée pour une période de dix ans et souhaite canaliser toutes les énergies pour que la réouverture ait lieu dans les plus brefs délais. Pour cette raison, une partie du bâtiment principal a été de nouveau temporairement accessible aux visiteurs. Durant les week-ends du et du , le public a eu l’occasion de voir les décorations murales perdues, qui ont fait l’objet d’une restauration pendant les quatre années précédentes[7].
Histoire des bâtiments
[modifier | modifier le code]Pieter Cuypers
[modifier | modifier le code]En 1863, la construction d’un nouveau bâtiment pour le Rijksmuseum fit l’objet d’un concours, mais aucun des projets soumis ne fut jugé d’une qualité suffisante, ce qui donna lieu, en 1876, à l'organisation d'un second concours.
C'est Pierre Cuypers (1827-1921) qui l'emporta ; celui-ci avait déjà participé la première fois, mais son projet n'avait obtenu, alors, que la deuxième place. Le projet de Cuypers qui fut finalement retenu était une combinaison d’éléments gothiques et de style Renaissance.
La construction commença le et le musée ouvrit ses portes à sa nouvelle adresse le [8]. La façade avant du musée est située sur le Stadhouderskade mais, de l’autre côté, l’édifice occupe une place de choix de la Museumplein, parmi d’autres édifices culturels construits ultérieurement, le Concertgebouw (1888), le Stedelijk Museum (1895) et le Musée Van Gogh (1973).
En 1890, une annexe fut ajoutée au Rijksmuseum. Cette construction fut réalisée à partir de fragments de bâtiments démolis et donne une vue d’ensemble de l’histoire de l’architecture néerlandaise. En 1906, la salle abritant La Ronde de nuit fut reconstruite[8]. L’intérieur connut d’autres aménagements ; ainsi, entre les années 1920 et 1950, la plupart des décorations polychromes des murs furent-elles recouvertes.
Dans les années 1960, des salles d’expositions et plusieurs étages furent construits dans les deux cours. Le bâtiment connut encore quelques travaux de restauration en 1984, en 1995-1996 – transformation de l’aile sud du musée (dix-sept salles), désigné aujourd’hui sous le nom d’aile Philips (du nom de l’un des sponsors) – et 2000[9].
Description
[modifier | modifier le code]Le musée est construit dans le style de la Renaissance hollandaise du XVIe siècle. La façade principale (façade nord) se compose d'un pavillon central flanqué de tours de plan carré, contres lesquelles s'accolent deux ailes terminées par deux pavillons carrés. Le pavillon central est percé au rez-de-chaussée de baies centrées ouvrant de vastes voie publiques établies au-dessous de ce même pavillon. Le musée a une superficie de 11 000 mètres carrés, et sa façade principale mesure 135 mètres de long[10]. À l’intérieur autant qu’à l’extérieur, le bâtiment fut richement décoré avec des références à l’histoire de l’art néerlandais, des décorations qui firent elles aussi l’objet d’un concours, remporté par Bart Van Hove (1850-1914) et François Vermeylen (1824-1888) pour les sculptures, Georg Sturm (1855-1923) pour les tableaux en céramique et les peintures, et le Londonien W.F. Dixon pour les vitraux.
Le « nouveau » Rijksmuseum
[modifier | modifier le code]De 2003 jusqu’en 2013[11], le Rijksmuseum est restauré et rénové sur les plans des architectes espagnols Antonio Cruz et Antonio Ortiz tandis que les galeries intérieures et la muséographie sont confiées à l'architecte français Jean-Michel Wilmotte[12]. Ces travaux concernent la remise à neuf de nombreuses décorations intérieures et l’enlèvement du revêtement des cours. Durant ces travaux, seules quatre cents environ parmi le million de pièces de la collection permanente sont présentées dans une exposition appelée Les Chefs-d’œuvre, qui se tient dans l'« aile Philips »[13].
En , à la suite de mesures prises par l’Inspection du travail, le Rijksmuseum dut fermer quelques jours ses portes au public, car des particules d’amiante avaient été détectées. Au début du mois de décembre de la même année, une grande partie du musée fut fermée pour cause de transformations. Celles-ci, qui au départ étaient prévues pour quelques années, devraient finalement prendre dix ans environ, à la suite de divers ralentissements. Le , on annonça en effet que la réouverture était repoussée au premier semestre de l’année 2013[14],[15],[16]. Entre-temps, l’« aile Philips » du musée reste ouverte aux visiteurs, de même qu’une dépendance de l’institution, qui se trouve derrière la douane de l’aéroport de Schiphol.
À Amsterdam, une question a suscité bien des débats, celle de savoir si le passage permettant aux cyclistes et au piétons de se rendre de la Museumplein au centre-ville resterait ouvert. Le Rijksmuseum avait pour projet de déplacer l’entrée principale du musée à l’endroit de ce passage, mais beaucoup d’Amstellodamois ont craint que cela ne laisserait pas suffisamment d'espace pour pouvoir encore y circuler facilement. Au printemps 2005, les autorités de l’arrondissement Oud-Zuid prenaient la décision de refuser le projet de construction à l’endroit du passage, le jugeant non-conforme au plan d’urbanisme. Au printemps 2006, un projet adapté fut présenté, qui envisage toujours de placer l’entrée du musée dans le passage en question, mais en laissant suffisamment de place aux cyclistes.
Le montant de ces lourds travaux s’élève à 222 millions d’euros. Pendant leur durée, La Ronde de nuit est présentée dans la nouvelle « aile Philips » en même temps que tous les principaux tableaux du XVIIe siècle que le musée possède. La Ronde de nuit retourne dans la salle qui lui est consacrée, au bout de la Galerie d’honneur.
En 2012, le musée prend une initiative inhabituelle en rendant disponibles 125 000 images en haute résolution sur sa plateforme en ligne Rijksstudio[17], en annonçant que 40 000 nouvelles images seraient ajoutées chaque année jusqu'à ce que l'intégralité de sa collection d'un million d'objets soit diffusée[18],[19]. Les reproductions d’œuvres appartenant au domaine public sont placées sous licence CC0, ainsi que leurs métadonnées, ce qui autorise leur libre réutilisation, y compris à des fins commerciales.
Après l'exposition temporaire Slavery organisée de mai à octobre 2021 sur le thème de l’esclavage (pratiqué durant deux siècles et demi par les Pays-Bas), le musée a mené une réflexion sur sa représentation dans les œuvres de sa collection permanente. Dans le cadre du projet «Rijksmuseum & Slavery», le musée a ainsi ajouté, de février 2021 à février 2023, 77 cartels aux « peintures et objets de la collection permanente qui explorent leurs relations avec l’esclavage colonial néerlandais », afin d'expliquer le lien entre l’œuvre et l’histoire de la traite et de l’esclavage par les Pays-Bas[20].
Collections et départements
[modifier | modifier le code]Le Rijksmuseum comprend trois départements principaux :
- Le département des Beaux-Arts, lui-même subdivisé en trois sections : Peintures – Sculpture et Arts décoratifs – Art asiatique ;
- Le Rijksprentenkabinet, « Cabinet national des estampes », où sont conservés dessins, gravures et photos ;
- Le département Histoire néerlandaise.
Beaux-Arts
[modifier | modifier le code]Peinture
[modifier | modifier le code]Les collections de peintures offrent une aperçu de l’art néerlandais du XVe siècle jusqu’à 1900 environ, avec un accent plus particulier sur les maîtres hollandais du XVIIe siècle. Une partie des collections concerne également les maîtres de l’école flamande et ceux de l’école italienne, notamment[21].
Les étages supérieurs des deux ailes du bâtiment comportent également des œuvres d'art moderne datant de 1900 à 2000 (d'art nouveau, du groupe CoBrA notamment, avec Karel Appel).
Les collections comprennent des œuvres d’artistes tels que Rembrandt et les élèves de ce dernier, mais aussi Johannes Vermeer, Frans Hals, Jan Steen, et d'autres.
Rembrandt
[modifier | modifier le code]Johannes Vermeer
[modifier | modifier le code]Frans Hals
[modifier | modifier le code]-
La Maigre Compagnie (achevé par Pieter Codde).
Jan Steen
[modifier | modifier le code]Autres peintres
[modifier | modifier le code]Parmi les autres peintres représentés figurent Hendrick Avercamp, Willem Pietersz. Buytewech, Carel Fabritius, Gabriel Metsu, Gerard ter Borch, Hendrick ter Brugghen, Bartholomeus van der Helst, Gerard van Honthorst, Jacob van Ruisdael, Jan van Scorel, George Hendrik Breitner, Jan Veth, Willem Ormea ou encore les Flamands Jacob Jordaens, Antoine van Dyck et Pierre-Paul Rubens.
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Albertus Jonas Brandt et Eelke Jelles Eelkema, Fleurs dans un vase de Terracotta. Entre 1810 et 1822.
Points d’orgue
[modifier | modifier le code]Le musée abrite différents chefs-d’œuvre. Parmi ceux-ci, les plus importants et les plus monumentaux sont présentés dans la galerie d’honneur, une grande salle dans l’axe longitudinal du musée. C’est au bout de cette salle que se trouve l’œuvre sans doute la plus connue du musée, La Ronde de nuit de Rembrandt.
Sculpture et Arts décoratifs
[modifier | modifier le code]La collection Sculpture et Arts décoratifs comprend des sculptures, du mobilier et des lambris, des pièces d’orfèvrerie, de la céramique, des objets d’art en verre, en matière textile, ou en métal, et de nombreux autres types d’objets. Cette collection, bien qu’y soit laissée une place plus large à l’art néerlandais, possède elle aussi un caractère international[22].
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Portrait de la Catharina Hooft, Artus Quellinus
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Knight on horseback. XIIIe siècle. Bronze
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Netsuke, Japon, entre 1775 et 1825.
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Lamentation, Arnt van Zwolle, c. 1480
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Panneau japonais représentant l'arrivée des Portugais. Début du XVIIe siècle.
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Trône de Guillaume II des Pays-Bas, 1838.
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Table, XVIIe siècle.
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Céramique chinoise
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Céramique française
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Céramique allemande
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Céramique iranienne
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Céramique italienne
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Céramique japonaise
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Céramique tunisienne
Art asiatique
[modifier | modifier le code]La collection d’art asiatique provient en majeure partie de la Vereniging van Vrienden der Aziatische Kunst (l’« Union des Amis de l’art asiatique ») et donne un aperçu du développement, entre autres de l’art chinois, japonais et indien, d’un point de vue asiatique. Des porcelaines d’exportation chinoises et japonaises, ainsi que des meubles coloniaux font cependant également partie de cette collection[23].
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Bodhisattva Jizo
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Bodhisattva Seishi
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Kakemono
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L'île de Deshima
Cabinet des estampes (Rijksprentenkabinet)
[modifier | modifier le code]Histoire néerlandaise
[modifier | modifier le code]Bibliothèque
[modifier | modifier le code]La Rijksmuseum Research Library fait partie du Rijksmuseum et constitue le plus vaste centre de documentation public aux Pays-Bas spécialisé dans l'histoire de l'art. L'inventaire en ligne contient quelque 300 000 monographies, 3 400 magazines et 90 000 catalogues de vente aux enchères. Les quelque 50 000 catalogues d'avant 1989 ne sont pas encore inclus dans le catalogue en ligne.
Atelier de restauration
[modifier | modifier le code]Le Rijksmuseum dispose également d'un atelier de restauration pour la conservation et les travaux de restauration d’œuvres d'art[24].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Sources
[modifier | modifier le code]- (nl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé « Rijksmuseum » (voir la liste des auteurs).
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Rijksmuseum » (voir la liste des auteurs).
Références
[modifier | modifier le code]- (en) « History of the Rijksmuseum » (consulté le ).
- Source : « Chiffres selon le type de visiteurs. », rijksmuseum.nl, Rijksmuseum (consulté le ).
- (en) « Portrait of Cornelis Apostool, First Director of the Rijksmuseum », sur Rijksmuseum.nl (consulté le ).
- (en) « History », sur Rijksmuseum.nl (consulté le ).
- (nl) « Verzamelbeleid » (version du sur Internet Archive).
- (en) « FAQ #8 », sur rijksmuseum.nl (version du sur Internet Archive).
- (nl) « Rijksmuseum even weer open », sur parool.nl, (consulté le ).
- « Rijksmuseum (1876/85). Stadhouderskade, 42. », Monumenten en Archeologie in Amsterdam, City of Amsterdam (consulté le )
- « Rijksmuseum (1876/85). Stadhouderskade, 42. Intérieur. », Monumenten en Archeologie in Amsterdam, City of Amsterdam (consulté le )
- E.-L. Tillion, Hollande, Paris, Hachette, , p. 243, 244
- (en) « Rijksmuseum reopening delayed until 2013 », DutchNews.nl, (consulté le )
- Annick Colonna-Césari, « Flambant neuf, le Rijksmuseum d'Amsterdam rouvre enfin ses portes », sur lexpress.fr,
- « Le nouveau Rijksmuseum. Aspect définitif. », The New Rijksmuseum, Rijksmuseum Amsterdam (consulté le )
- « Verbouwing Rijks opnieuw vertraagd », Parool, 26 février 2008.
- « Open in 2012 - mits, tenzij », Parool, 27 février 2008.
- « Oplossing in bouwkwestie Rijksmuseum », www.nrc.nl, 19 mai 2009.
- Page du Rijksstudio.
- (nl) « Rijksmuseum lanceert Rijksstudio », sur Creative Commons Nederland, (consulté le ).
- (en) « Masterworks for One and All », sur nytimes.com, (consulté le ).
- Jacques Pezet, « Pourquoi le Rijksmuseum d’Amsterdam affiche-t-il des informations relatives à l’esclavage à côté de ses chefs-d’œuvre ? », sur liberation.fr, (consulté le )
- Schilderijen - Rijksmuseum Amsterdam - Nationaal Museum voor Geschiedenis en Kunst. – Page consultée le 1/7/2008.
- Beeldhouwkunst & Kunstnijverheid - Rijksmuseum Amsterdam - Nationaal Museum voor Geschiedenis en Kunst. – Page consultée le 1/7/2008.
- Aziatische Kunst - Rijksmuseum Amsterdam - Nationaal Museum voor Geschiedenis en Kunst. – Page consultée le 1/7/2008.
- Organisatie - Rijksmuseum Amsterdam - Nationaal Museum voor Geschiedenis en Kunst – Page consultée le 1/7/2008.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Ruud Priem, Marc Restellini et Peter Sigmond, L'Âge d'Or hollandais - de Rembrandt à Vermeer avec les trésors du Rijksmuseum, éd. Pinacothèque de Paris, 2009, 304 p. (ISBN 978-235-867004-3)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative à la recherche :
- Ressource relative à l'architecture :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (fr) Informations pour les visiteurs - Guide de voyage