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Beaurevoir

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Beaurevoir
Beaurevoir
La mairie.
Blason de Beaurevoir
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Christian Wabont
2020-2026
Code postal 02110
Code commune 02057
Démographie
Gentilé Bellovisiens
Population
municipale
1 368 hab. (2021 en évolution de −5,2 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 59′ 50″ nord, 3° 18′ 35″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 152 m
Superficie 21,73 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bohain-en-Vermandois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Beaurevoir
Géolocalisation sur la carte : France
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Beaurevoir
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Beaurevoir
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Beaurevoir

Beaurevoir est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Géographie

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Communes limitrophes

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Hameaux et écarts

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  • Ponchaux

Situé à 1 km à l'est de Beaurevoir, le hameau de Ponchaux comporte une trentaine de maisons et possède son propre monument aux morts.

  • Un lieu-dit Genève se trouve sur la commune.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal des Torrents[Carte 1].

Le canal des Torrents, d'une longueur de 30 km, prend sa source dans la commune de L'Abergement-Clémenciat et se jette dans l'Escaut à L'Abergement-Clémenciat, après avoir traversé neuf communes[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Beaurevoir[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Beaurevoir est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96 %), zones urbanisées (4 %)[13].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Belvoir (XIIe siècle) ; Biauvoir (1202) ; Bellum visum (1229) ; Bellum videre (1263) ; Biauroer (1264) ; Belowart (1347) ; Beauvoir-en-Arouaise (1356) ; Biaurevoir (1384) ; Beauvoir-en-Cambresis (1575)[14].

Beaurevoir, qui signifie Belle vue apparaît au XIIe siècle sous le nom de Belvoir, puis Biauvoir dans un cartulaire de l'Abbaye du Mont-Saint-Martin. Son nom s'écrira de manières différentes en fonction des transcriptions latines ou picarde. Bellum visum en 1229 dans un cartulaire de la seigneurie de Guise, Bellum Videre, Biauroer, Belowart, Beauvoir-en-Arouaise, Biaurevoir, Beauvoir-en-Cambresis et enfin l'orthographe actuelle Beaurevoir au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini. À noter qu'aujourd'hui encore, dans les villages alentour, la prononciation picarde est Bièrvoé[15].

Jeanne d'Arc

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Jeanne d'Arc, prisonnière de Jean de Luxembourg, fut transférée du château de Beaulieu au château de Beaurevoir, château du Vermandois.

Elle y fut d'abord traitée avec douceur. Elle fut accueillie par une tante de Jean de Luxembourg et par Jeanne de Béthune, l'épouse de Jean. Pieuses et charitables, Jeanne leur fit grande impression. Elles lui offrirent une robe, mais Jeanne refusa de quitter sa vêture masculine[16].

Jeanne recevait des visites, notamment celle d'Aymon de Macy, et fut tenue au courant de la situation critique de Compiègne et des pourparlers pour la vendre aux Anglais. Elle prit la résolution de tenter une nouvelle évasion, malgré ses "voix" (selon ses déclarations) qui lui conseillèrent la prudence.

Elle était claustrée au dernier étage d'une tour d'angle, haute d'environ 30 mètres ; la muraille était à pic et s'achevait dans un fossé à sec. L'étroite fenêtre de la geôle n'était pas grillagée, Jeanne s'y glissa et, selon ses déclarations, se recommanda à sainte Catherine. Elle tomba lourdement dans le fossé ; à moitié évanouie, elle entendit des gens crier : elle est morte. Des gardes accoururent, elle reprit conscience. Dans leur saisissement de la trouver encore en vie, l'un ne put que dire : Vous avez sauté ?

On la porta dans sa cellule, où, courbatue, elle resta étendue sur un grabat, incapable de boire et de manger durant trois jours.

Les juges de Rouen profitèrent de cette évasion manquée pour l'accuser d'avoir voulu se suicider[17]. Cependant, le réquisitoire définitif ne fit pas allusion au suicide.

Carte de Cassini

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Sur la carte de Cassini ci-contre datant du XVIIIe siècle, Beaurevoir est une paroisse avec une tour en ruines (probablement la tour où Jeanne d'Arc aurait été retenue prisonnière trois siècles auparavant). Les hameaux de Ponchaux et Vaux-le-Prêtre (écrit Velleprêtre) ainsi que les fermes de la Sablonnière et la Motte qui figurent sur la carte existent encore de nos jours. Le moulin à vent en bois situé au sud du village ainsi que la ferme et la chapelle de Somescault ont disparu. Somescault ou Fontaine de Somescault dont le nom apparaît en 1531 viendrait d'anciennes sources de l'Escaut dont les eaux se jetaient dans le canal des Torrents (écrit Canal pour les Torrents)[18].

Guerre de 1914-1918

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Le 28 août 1914, moins d'un mois après la déclaration de guerre, Lanchy voit l'arrivée des premiers Allemands[19] après la retraite de l'armée française.
Pendant toute la guerre, le village se trouve en arrière du front, qui est stabilisé à une vingtaine de kilomètres à l'ouest, vers Péronne. Pendant cette période, les habitants connaissent la dure loi des occupants. Des arrêtés de la kommandantur obligent, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, la population à fournir sous peine de sanctions : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
Ce n'est que le 4 octobre 1918 que Beaurevoir est repris par les troupes britanniques et australiennes après de violents combats et bombardements qui occasionneront de nombreux dégâts aux bâtiments.

Après l'Armistice, nombre d'habitants ne reviennent pas s'installer dans la commune, mais, grâce aux indemnités pour dommages de guerre, commencent une nouvelle vie en d'autres lieux. Pour les autres commence une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 2 300 habitants en 1911, Beaurevoir n'en comptait plus que 1691 en 1921.

Le 17 octobre 1920, vu les souffrances endurées par la population pendant les trois années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune se voit décerner la Croix de guerre 1914-1918[20].

Ancienne voie ferrée

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De 1900 à 1950, Beaurevoir a possédé deux gares ; la principale, située dans le bas du village, aujourd'hui rue François-Molet et qui est de nos jours transformée en habitation; la seconde était une simple halte située le long de la chaussée Brunehaut et qui desservait le hameau de Ponchaux comme on peut le constater sur la photo de l'horaire des trains. De cette halte, il ne subsiste aucune trace aujourd'hui. Elle faisait de la ligne de chemin de fer de Guise au Catelet, ligne à voie métrique réalisée sous le régime des « voies ferrées d'intérêt local » reliant Le Catelet-Gouy à Bohain puis Guise. Elle servait pour le transport du courrier, des marchandises, des betteraves vers la sucrerie de Bohain et surtout des habitants et des ouvriers qui se rendaient soit à Bohain , pour travailler dans les usines textiles, soit au Catelet pour rejoindre Saint-Quentin ou Cambrai par la ligne du Cambrésis.
Après 1945, le trafic décline, du fait de l'essor du transport des marchandises par camion et des voyageurs par autobus. Le Département de l'Aisne, propriétaire de la ligne, décide de son déclassement le 1er janvier 1951.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la deuxième circonscription de l'Aisne.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton du Catelet[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton de Bohain-en-Vermandois.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, créée fin 1993.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1973 1989 Robert Michel    
1989 1995 Jean Brouet    
1995 2001 André Lefebvre    
2001 mars 2008 Gérard Potterie    
mars 2008[23] mai 2020 Éric Limpens DVD Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[24]
mai 2020[25] En cours
(au 23 mai 2020)
Christian Wabont Sans étiquette  

Politique environnementale

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Sept éoliennes sont en construction a l'été 2017 sur le secteur du hameau Ponchaux. Trois supplémentaires sont alors envisagées dans la commune, avec un avis favorable de la municipalité[26].

Un référendum local relatif à l'interdiction de tout projet éolien sur le territoire de la commune a été proposé par le Maire au conseil municipal en juillet 2020 et devait se tenir en octobre 2020[27]. L'épidémie à coronavirus et le deuxième confinement national ont conduit à un report sine die la tenue de ce référendum qui pourrait avoir lieu début 2022 ou fin 2022.

Le conseil municipal a voté en septembre 2021 un projet photovoltaïque de 250 kWc soit 1345m² de panneaux photovoltaïques sur quatre bâtiments de la commune : la salle polyvalente, l'école primaire, l'école maternelle et la salle des associations. 260'000 kWh d'électricité seront produits annuellement[28],[29]. Les travaux devraient débuter début 2022.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 1 368 habitants[Note 3], en évolution de −5,2 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1601 1231 2111 2751 3901 4231 5431 7041 803
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8311 9372 0362 1552 1552 0582 0112 0102 109
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1752 2212 3001 6911 7611 5011 4681 1971 277
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 2641 3421 3171 4421 4251 4981 5301 5341 483
2017 2021 - - - - - - -
1 4241 368-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Beaurevoir Blason
D'or à trois maillets de sinople[34].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Beaurevoir » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « le canal des Torrents »
  2. « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Beaurevoir et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 22.
  15. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  16. A son procès, Jeanne d'Arc reconnu, quand les juges l'interrogèrent à ce propos : Si j'eusse dû le faire (quitter sa tenue de guerre), je l'aurais fait à la requête des dames de Beaurevoir, plus qu'à celle de toute autre dame qui fût en France, excepté ma reine.
  17. L'acte d'accusation, dans son article VII, précise : Tu as dit que tu avais volontairement et de ton plein gré, sauté de la tour de Beaurevoir, aimant mieux mourir que d'être remise aux mains des Anglais et que de vivre après la destruction de Compiègne, et que, malgré la défense que t'en avaient faite sainte Catherine et sainte Marguerite, tu n'avais pu t'empêcher de te précipiter.
  18. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  19. « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  20. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Les maires de Beaurevoir », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  24. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  25. « Christian Wabont s'empare de la mairie de Beaurevoir », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  26. « Le parc éolien pourrait encore s'agrandir à Beaurevoir : Et de dix ? La société qui s'apprête à monter sept éoliennes sur la commune demande à en ajouter trois autres », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
  27. « Un référendum pour connaître l'avis de tous concernant l'implantation des éoliennes à Beaurevoir », sur L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  28. « Un projet photovoltaïque avec plus de 800 m² de panneaux voté par le conseil de Beaurevoir », sur L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  29. « L'école maternelle de Beaurevoir va avoir des panneaux photovoltaïques », sur L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 32 (cf. Beaurevoir).
  34. « 02057 Beaurevoir (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).