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Irissarry

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Irissarry
Irissarry
Vue du centre d'Irissarry.
Blason de Irissarry
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Xavier Lacoste
2020-2026
Code postal 64780
Code commune 64273
Démographie
Gentilé Irisartar
Population
municipale
913 hab. (2021 en évolution de +5,06 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 29″ nord, 1° 13′ 57″ ouest
Altitude Min. 149 m
Max. 839 m
Superficie 26,39 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Irissarry
Géolocalisation sur la carte : France
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Irissarry
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Irissarry
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Irissarry

Irissarry est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Irisartar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Irissarry se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 125 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 46 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 24 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Suhescun (3,8 km), Ossès (4,5 km), Iholdy (5,1 km), Hélette (5,7 km), Saint-Martin-d'Arrossa (6,8 km), Armendarits (6,9 km), Jaxu (7,4 km), Ainhice-Mongelos (8,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Irissarry fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

Communes limitrophes

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Au nord-ouest, les communes de Macaye et Mendionde sont limitrophes par un quinquepoint. Les communes limitrophes sont Hélette, Iholdy, Jaxu, Macaye, Mendionde, Ossès et Suhescun.

Communes limitrophes d’Irissarry[11]
Mendionde,
Macaye
Hélette
Ossès Irissarry Iholdy
Jaxu Suhescun

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Irissarry.

La commune est drainée par le Lakako erreka, l’Elhurréko erreka, le ruisseau de Gatharry, le Larhanéko Ura, le ruisseau d'Oyhanhandia, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 42 km de longueur totale[12],[Carte 1].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 413 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 9 km à vol d'oiseau[16], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21],[Carte 2] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[22] ;
  • le « massif du Baygoura », d'une superficie de 3 297 ha, un massif montagneux à landes et pelouses exploité par le pastoralisme[23] ;

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : les « mont Baigura et crête d'Haltzamendi » (616,19 ha), couvrant 6 communes du département[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24],[Carte 4] :

  • les « landes de Larla-Jarra et d'Orzaize-Izpura » (4 429,5 ha), couvrant 10 communes du département[26] ;
  • le « massif du Baigura » (4 200,57 ha), couvrant 7 communes du département[27].

Au , Irissarry est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[29],[30].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,9 %), prairies (34,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,8 %), forêts (7,4 %), zones urbanisées (1,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

  • Kurutxeta ;
  • Sarri Mendi ;
  • Urrutiko aldea ;
  • Bidegaina ;
  • Gazteluberria ;
  • Gaztelu Zaharreko aldea ;
  • Iturraldea ;
  • Zaldunbidea.

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 8 et D 22.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Irissarry est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment leLakako erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009, 2014 et 2021[34],[32].

Irissarry est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Irissarry.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 85,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[39].

Attestations anciennes

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Le toponyme Irissarry est documenté[40] sous les formes Hospital et oratorium de Irixuri (1186, cartulaire de Bayonne, feuillet 32[41]), Irissarri (1352, collection Duchesne volume CXIV, feuillet 186[42]), Ospital de Sent Johan de Irisarri (1518, chapitre de Bayonne[43]) et Yrisarri (1621, Biscay[44]).

Étymologie

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Irissarry signifie 'domaine dans les fourrés'[45] ou 'domaine défriché'[46] (iri = 'domaine' et sarri = 'broussailles', d'après Jean-Baptiste Orpustan).

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Irisarri[1].

Les Hospitaliers

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La naissance d'Irissarry ainsi que la construction de la commanderie d'Irissary et de son oratoire datent du XIIe siècle, vers l'an 1150. l’Ospitalea était une commanderie-hôpital de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[47].

En 1350, Irissarry comptait 23 maisons. Toutes, sauf deux, appartenaient et dépendaient de la commanderie où le seigneur faisait office d'administrateur et de souverain.

En 1607, le commandeur d'Irissarry, Martin de Larrea entreprit la reconstruction d’Ospitalea (hôpital) et en fit à l'époque le plus beau bâtiment de Navarre. L'oratoire fut ensuite construit et devint l'église Saint-Jean-Baptiste actuelle dont une partie a la particularité d'être pavée de dalles funéraires. L'église a été profondément transformée en 1860.

Héraldique

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Blason de Irissarry Blason
D’azur à la bande accompagnée en chef d’un croissant renversé et en pointe de trois étoiles ordonnées en orle, tous d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1995 Armand Aguerre    
1995 2001 Bertrand Elissalde    
2001 2008 Jean-Pierre Indaburu    
2008 En cours Xavier Lacoste    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Irissarry appartient à six structures intercommunales[48] :

Irissarry accueille le siège du SIVU Baigura.

Population et société

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Démographie

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La déclaration des biens de 1749[49] dénombre 64 feux à Irrissarry.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

En 2021, la commune comptait 913 habitants[Note 8], en évolution de +5,06 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0501 0421 0561 1151 1791 2281 1921 3591 322
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2101 2231 1801 1421 2391 2501 2781 1711 120
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1231 0771 1231 0351 004964957947903
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
827749761756751728814826857
2017 2021 - - - - - - -
886913-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose de deux écoles : l'école primaire privée Saint-Joseph et l'école primaire publique[54]. Cette dernière propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[55].

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

D'après Philippe Veyrin[56], Irissarry a été longtemps célèbre pour ses foires annuelles de moutons.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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  • Un gaztelu zahar se dresse au lieu-dit Gazteluzaharrea sur un contrefort du Baïgura ;
  • la commanderie Ospitalea[57] date du XIIe siècle. Elle a été transformée en centre d'éducation au patrimoine ;
  • la ferme Bidegaïna[58] date du XVIIe siècle, comme
  • la ferme Zaldunbidea[59] ou
  • la maison de maître Gazteluberria[60] ;
  • la ferme Iturraldea[61] date du XVIIIe siècle ;
  • d'autres fermes[62] datant des XVIIe et XVIIIe siècles sont inscrites aux monuments historiques.
Commanderie Ospitalea inscrite aux monuments historiques.
Atalburu au nom des époux.
Linteau sculpté.

Patrimoine religieux

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Croix de carrefour devant la maison Ospitalea.
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Chœur de l'église avec retable.
Intérieur de l'église Saint-Jean-Baptiste avec sa galerie
Vitrail saint Jean-Baptiste décapité.
Vitrail : baptême du Christ par saint Jean-Baptiste.
Vitrail : la présentation de saint Jean-Baptiste.
Orgue de l'église

Équipements

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L'ancienne école bilingue.
Éducation

Un projet de création d'un d'éducation du patrimoine est piloté par l'Institut culturel basque. En 2002, la commanderie Ospitalea, rachetée par le département des Pyrénées-Atlantiques, a ouvert ce centre qui accueille de nombreux groupes scolaires ou autres.

La commune dispose de deux écoles primaires.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Irissarry » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Irissarry », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Irissarry », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Irissarry », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b - Académie de la langue basque
  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Irissarry et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Irissarry et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Irissarry et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Irissarry », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale d'Irissarry », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Orthodromie entre Irissarry et Bustince-Iriberry », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Irissarry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  23. « site Natura 2000 FR7200758 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  27. « ZNIEFF le « massif du Baigura » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Irissarry », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  41. Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  43. Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  44. Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
  45. « Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice portant sur l'inventaire général du patrimoine culturel d'Irissarry », notice no IA64000798, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2, lire en ligne).
  47. Valérie Rousset, « Le palais de la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem à Irissarry (Pyrénées-Atlantiques) », Bulletin monumental, vol. 160, no 2,‎ , p. 173-185 (lire en ligne).
  48. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité », sur comdpt.pyrenees-atlantiques.pref.gouv.fr (consulté le ).
  49. Recensement cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 282. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  56. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), page 44
  57. « Notice portant sur la commanderie Ospitalea », notice no IA64000758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Notice portant sur la ferme Bidegainea », notice no IA64000798, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « Notice sur la ferme Zaldunbidea », notice no IA64000743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Notice sur la maison Gazteluberria », notice no IA64000745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. « Notice sur la ferme Iturraldea », notice no IA64000746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « Notice sur les maisons anciennes d'Irissarry », notice no IA64000823, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA64000747, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. « Notice sur le mobilier de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no PM64000191, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  65. « Notice sur la croix de carrefour », notice no PA00084404, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Articles connexes

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