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Mary Cassatt

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Mary Cassatt
Mary Cassatt (de face) avec Mme Joseph Durand-Ruel, en 1910. Archives Durand-Ruel.
Biographie
Naissance
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Allegheny (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Mary Stevenson CassattVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Cassatt, Mary StevensonVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Robert S. Cassatt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Katherine Kelso Cassatt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Lydia Cassatt (d)
Alexander Cassatt (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Mouvement
Maître
Personne liée
Edgar Degas (ami ou amie)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genres artistiques
Peinture de portrait, scène de genre, paysage, représentation figurée (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Œuvres principales
Étude de femme âgée en chapeau : fond rouge (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Mary Cassatt
Signature

Mary Stevenson Cassatt, dite Mary Cassatt (en anglais [kəˈsæt]), née le [1],[2] à Pittsburgh en Pennsylvanie et morte le au Mesnil-Théribus en France, où elle est enterrée, est une artiste peintre et graveuse américaine.

Autoportrait (vers 1878)
Metropolitan Museum of Art, New York.

Mary Cassatt naît le [3] à Allegheny, Pennsylvania (en), qui fait actuellement partie de Pittsburgh en Pennsylvanie. C'est la quatrième enfant de Robert Simpson Cassat (puis Cassatt) et de Katherine Kelso Johnston[4]. La famille Cassatt est une vieille famille américaine issue d'émigrés français arrivés aux États-Unis en 1662 : les Cossart. Tout en revendiquant cette filiation et reconnaissant que sa mère Katherine a reçu une éducation française, langue qu'elle parlait couramment, Mary Cassatt se sent profondément américaine[5].

Elle est âgée de sept ans environ lorsqu'elle quitte les États-Unis pour l'Europe avec ses parents. Il s'agit de consulter des médecins au sujet de la maladie de son frère Robbie qui mourra d'un cancer des os en 1855[6]. La famille s'installe à Paris. Mary apprend le français et l'allemand, visite les musées et les galeries d'art[7]. En 1855, la famille retourne en Pennsylvanie où Mary prend des cours de dessin.

En 1860, elle entre à la Pennsylvania Academy of the Fine Arts où elle perfectionne son art. Mary est déçue de la formation qu'elle y reçoit[8]. Elle quitte donc l'Académie au bout de deux ans. Elle retourne en 1865 à Paris avec sa mère et une compagne d'étude, Eliza Haldeman. Les deux jeunes femmes restent à Paris tandis que Katherine rentre aux États-Unis. Elles étudient la peinture avec le peintre Paul-Constant Soyer, puis s'inscrivent dans la classe de Charles Chaplin[9] où elles apprennent l'art du portrait et obtiennent leurs cartes de copistes du Louvre. Mary est élève du peintre Jean-Léon Gérôme. Elles visitent Barbizon. En 1868, sa Joueuse de mandoline, qu'elle présente sous le nom de sa grand-mère, Stevenson, est acceptée au Salon de Paris[10]. Elle découvre les œuvres de Manet et Courbet.

En 1870, la guerre éclate en France. Mary Cassatt rentre en Pennsylvanie. En 1871, elle retourne en Europe, visitant Londres, Paris, Turin, puis s'installe à Parme où elle étudie Le Corrège et développe son art de la couleur. C'est également là, auprès de Carlo Raimondi, qu'elle s'initie à l'art de la gravure[11]. Elle part ensuite pour l'Espagne, découvre les Rubens du musée du Prado qui la poussent à visiter Anvers[12]. C'est de cette étude de Rubens qu'elle acquiert le sens de la lumière et le goût des couleurs claires[13].

Sur le balcon, Philadelphia Museum of Art, 1872.

Le Salon de Paris accepte ses peintures : Sur le balcon durant le carnaval (1872), Le Torero et la jeune fille (1873) et Ida (1874). C'est cette dernière peinture qui attire pour la première fois l'attention de Degas pour cette artiste. Mary s'installe à Paris. Elle continue ses études auprès de Couture. En 1875, son Portrait de Lydia est d'abord refusé par le Salon de Paris puis est accepté après qu'elle en eut assombri le fond[14]. Cette année-là, elle fait la connaissance de Degas. Celui-ci lui conseille de se joindre aux impressionnistes, ce qu'elle refuse[10] ; le peintre devient son maître, il révèle sa personnalité d'artiste[15].

Avec les impressionnistes

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Lydia dans une loge, portant un collier de perles, Philadelphia Museum of Art, 1879.

Lorsqu'en 1877, son dernier tableau est refusé par le Salon, Degas l'encourage à exposer à la quatrième exposition des peintres impressionnistes en 1879. Elle accepte et y expose son tableau Petite Fille dans un fauteuil bleu, Lydia dans une loge portant un collier de perles[16] et La tasse de thé[17]. Elle y envoie onze peintures[18]. Mary Cassatt se sent à l'aise dans le groupe impressionniste[note 1], bien qu'elle y soit une figure un peu atypique ; portraitiste plus que paysagiste[19], elle les rejoint cependant dans son goût pour le travail à l'extérieur[20], son sens des couleurs[21] et sa recherche du réalisme[22] qui n'est pas incompatible avec une forme de lyrisme et de sentimentalisme qui lui est propre[20]. Sans être à proprement parler disciple de l'un d'entre eux, elle s'entretient fréquemment avec Degas, et admire Pissarro aux côtés duquel le hasard la fait travailler[23]. Elle se lie d'amitié avec Berthe Morisot[17].

Petite Fille dans un fauteuil bleu, Washington, National Gallery of Art, 1878.

Très proche d'Edgar Degas, ils vont régulièrement travailler ensemble, notamment pour la publication d'un recueil d'eaux-fortes avec Camille Pissarro. Ce recueil, qui aurait été intitulé Le Jour et La Nuit, ne verra jamais le jour. Malgré cet échec Edgar Degas et Mary Cassatt ont continué de se soutenir. Elle va plusieurs fois poser pour lui, par exemple pour les tableaux Mary Cassatt et Mary Cassatt au Louvre : la Peinture[24].

Cette période est aussi celle de l'installation à Paris de ses parents et de sa sœur Lydia, qui est gravement malade du foie, ce qui est l'occasion de nombreux portraits intimistes (1880). Après la mort de sa sœur en 1882, Mary se lance dans une série de portraits de jeunes enfants, souvent avec leur mère, ce qui devient son sujet d'étude privilégié[25]. Ce thème est d’autant plus marquant que Mary Cassatt est restée toute sa vie célibataire et sans enfant.

Mary Casatt participe ensuite à la cinquième exposition des peintres impressionnistes de 1880 et à la sixième en 1881, mais elle suit Degas qui a refusé de participer à la septième exposition de 1882[26]. Degas est en conflit avec Renoir, Monet, Cézanne et Sisley qui ne veulent pas accepter de nouveaux peintres dans le groupe des impressionnistes. Elle participe de nouveau à la huitième exposition des impressionnistes en 1886[18].

Elle exerce également l'activité d'agent et de conseillère de grands amateurs de peinture, notamment auprès du couple Louisine et Henry Osborne Havemeyer (étudiante à Paris, elle avait été la condisciple de Louisine) et collabore avec Paul Durand-Ruel lorsqu'en 1886 celui-ci et son fils Charles partent pour les États-Unis avec quelque 300 tableaux de l'école impressionniste[27].

Lorsqu'en 1891, la Société anonyme des artistes peintres, sculpteurs et graveurs français exclut de l'exposition chez Durand-Ruel tous les artistes nés à l'étranger, Mary Cassatt indignée loue chez lui deux salles proches pour y exposer ses tableaux et ceux de Pissarro. Félix Fénéon leur consacre une chronique élogieuse dans le journal Le Chat noir[28].

En 1890, la visite d'une exposition sur la gravure japonaise est l'occasion pour elle d'un infléchissement dans son art. Mary tombe en admiration devant les œuvres d'Utamaro et de Toyokuni[25]. Si l'esthétique de l'estampe japonaise l'influence fortement, elle n'adopte pas la technique de la xylographie, caractéristique de ces productions extrême-orientales. Elle leur préfère les techniques de taille-douce[29] et pratique la pointe sèche, l'eau-forte et l'aquatinte. Son talent pour cette dernière technique, extrêmement difficile, lui vaut une grande admiration de ses confrères. Lors de sa première exposition particulière chez Durand-Ruel en 1891, elle expose dix de ses eaux-fortes[30]. Cette exposition sera suivie de quatre autres chez Durand-Ruel, et chez Ambroise Vollard. Ses œuvres s'exposent aussi à New York (1895-1903) et au Royaume-Uni, à Manchester (1907). Elle donne deux pointes sèches originales à L'Estampe moderne (1897 et 1904)[31].

Elle continue sa série de portraits de femmes et d'enfants. Selon Achille Segard, c'est durant la période de 1890-1910 qu'elle atteint le sommet de son art[32], synthèse heureuse entre l'ascétisme de la gravure japonaise et l'abondance de coloris de sa période impressionniste, évoluant au gré de son humeur entre ces différentes tendances[33].


En 1893, elle est chargée par Bertha Palmer, avec trois autres artistes, de la décoration du pavillon de la Femme à l'exposition universelle de Chicago : elle réalise trois panneaux représentant des jeunes filles cueillant des fruits à l'arbre de la connaissance[10],[34]. Cette fresque, arrangée par Sarah Tyson Hallowell[35] est aujourd'hui perdue. Elle achète, en 1894 le château de Beaufresne au Mesnil-Théribus qui devient sa résidence d'été. De 1912 à 1924, elle partagera son temps entre Beaufresne et la Villa Angeletto à Grasse[36].

Son tableau Caresse lui vaut, en 1904, le prix Walter Lippincott, qu'elle refuse par esprit d'indépendance[25]. La même année, elle est décorée de la Légion d'honneur[37],[38].

Son père meurt en 1891, sa mère en 1895 et son frère Gardner en 1911. Ces décès l'affectent profondément et Mary souffre d'une dépression. Le diabète et la cataracte lui abîment la vue, elle cesse de peindre en 1914, et devient définitivement aveugle en 1921. Morte le , elle est enterrée dans la tombe familiale de Mesnil-Théribus.

Amie d'Edgar Degas, elle est souvent rattachée à l'impressionnisme, qui aura une grande influence sur son œuvre. Ses peintures, ses gravures et ses dessins de maturité doivent cependant plutôt être comparés à ceux produits par la génération de peintres post-impressionnistes : Toulouse-Lautrec ou encore les Nabis, avec qui elle partage un net intérêt pour les peintres et graveurs de l'ukiyo-e, période du japonisme[réf. souhaitée].

Elle exerça également l'activité d'agent et de conseillère de grands amateurs de peinture. Ses tableaux, présents dans les grands musées américains et à Paris, continuent d'être régulièrement montrés dans des expositions.

Le contraste existant entre, d'une part, l'origine sociale de Mary Cassatt et le choix de ses sujets et, d'autre part, sa carrière dans un milieu d'hommes, a suscité des débats et des positions différentes concernant son engagement féministe[39].

Mary Cassatt, élevée dans une famille de la haute bourgeoisie, accède au savoir qui devient peu à peu accessible aux femmes et fréquente les milieux artistiques parisiens mais n'abandonne pas son statut social. Si elle reçoit les artistes chez elle, elle ne fréquente pas les cafés[39] ni le café-concert[40] et les thèmes de ses tableaux concernent principalement sa sphère sociale : portraits de femmes et d'enfants de la bourgeoisie dans leurs activités quotidiennes. Cet apparent conformisme est mis en avant par certains critiques : Joris-Karl Huysmans l'encense affirmant que seule une femme peut peindre l'enfance grâce à son aptitude maternelle[40], le critique d'art John Walker (en) voit dans le choix de ses sujets les regrets d'une femme passée à côté d'une vie d'épouse et de mère[41] et Edgar Robertson insinue que ce sujet rebattu finit par générer l'ennui[41]. Des biographes comme Achille Segard ou Frederick Sweet saluent l'artiste mais voient en elle une charmante personne très victorienne[39].

A l'inverse, des groupes féministes, à commencer par son amie suffragette Louisine Havemeyer, puis plus tard des auteurs comme Griselda Pollock[42], Suzanne G. Lindsay[43] ou Nancy Mowll Mathews (en)[44] soulignent sa capacité à s'imposer dans un milieu d'hommes et à gagner son indépendance en vivant de son art. Elle fait partie des rares femmes-peintres impressionnistes, avec Berthe Morisot, Marie Bracquemond et Eva Gonzalès, à une époque où les préjugés attribuaient aux seuls hommes le génie créatif[45] et la culture[46] (laissant aux femmes la sensibilité dans l'interprétation). Degas lui-même, devant l’œuvre de Cassatt se permet ce commentaire révélateur « Je ne peux admettre qu'une femme dessine aussi bien»[47]. Concernant le choix des sujets, elles soulignent que les femmes étaient limitées dans ceux-ci, ne pouvant pas faire de portraits d'hommes hors de leur famille[48], ni de grandes fresques historiques[47], n'ayant aussi pas la même liberté de mouvements que les artistes-hommes. Elles devaient aussi se plier à la loi du marché. C'est sous cette peinture sous contrainte que se révèle le féminisme de Cassatt : femmes et enfants ne correspondent pas à des stéréotypes, sont peints avec naturel[49], non réifiés par le regard masculin[50]. La femme y transmet le savoir et la culture[51], fait preuve d'autonomie[52] et s'informe de l'actualité[53]. La fresque du pavillon des femmes en est un exemple car Cassatt y détourne l'image stéréotypée du jardin d’Éden pour présenter des femmes cueillant sereinement les fruits de la connaissance[54].

Cassatt a revendiqué un féminisme essentialiste[54], cherchant l'égalité dans la différence[57] et glorifiant le rôle de mère[51]. Concernant la fresque du pavillon des femmes, elle s'est défendue de n'y représenter aucun homme en remarquant qu'ils étaient déjà représentés dans toute leur vigueur dans les autres pavillons et revendiquant[54],[40] To us, the sweetness of chilhood, the charm of womanhood, if I have not conveyed some sens of that charm, in one word, if I have not been absolutely feminine, then I have failed (« Pour moi, la douceur de l'enfance, le charme de la féminité, si je n'ai pas transmis un peu de ce charme, en un mot, si je n'ai pas été absolument féminine, alors j'ai échoué »). Elle a également soutenu le mouvement des suffragettes de son amie Louisine Havemeyer par des ventes de tableaux en 1915[49].

Distinctions

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Expositions

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Expositions impressionnistes

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  • quatrième exposition, .
  • cinquième exposition, .
  • sixième exposition, .
  • huitième exposition, .

Expositions collectives

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  • Exposition des Femmes Artistes Modernes, Galerie Bernheim-Jeune, [58].
  • Exposition « L'impressionnisme et les Américains », Musée des Impressionnismes de Giverny, [59].

Expositions particulières

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  • Galeries Durand-Ruel, .
  • Galeries Durand-Ruel, novembre-.
  • Galerie Ambroise Vollard, 1907.
  • Galerie Durand-Ruel, .
  • « Mary Cassatt, une Impressionniste américaine à Paris », Musée Jacquemart-André, Paris, mars à juillet 2018.

États-Unis

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  • New York, Galeries Durand-Ruel, .
  • New York, Galeries Durand-Ruel, .
  • Pittsburgh, Centenaire de l'Académie de Pennsylvanie, 1905.
  • Manchester, Galeries Durand-Ruel, -.
Fresques de l'Exposition universelle de Chicago, œuvres perdues
  • Jeunes femmes cueillant les fruits de la connaissance
  • Jeunes filles poursuivant la célébrité
  • Arts, musique, danse
Non documentés

Notes et références

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  1. « J'avais reconnu quels étaient mes véritables maîtres ; J'admirais Manet, Courbet et Degas. Je haïssais l'art conventionnel. Je commençais à vivre. » Citation dans Segard 1913, p. 7.

Références

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  1. Sa tombe au cimetière Saint-Louis de Le Mesnil-Théribus indique 1843 (Nathalia Brodskaya, Cassat, Parkstone International, 2011, p. 16).
  2. selon son dossier de Légion d'honneur dans la base Léonore.
  3. 1844 selon ses biographes, mais on trouve aussi la date de 1843 sur son acte de décès et sa tombe (Nathalia Brodskaya, Cassat, Parkstone International, 2011, p. 16).
  4. Clement 2000, p. 17.
  5. Segard 1913, p. 3.
  6. Clement 2000, p. 21.
  7. Harris 2007, p. 5.
  8. « À l'académie de Philadelphie, on dessinait tant bien que mal d'après des copies anciennes ou des plâtres antiques. Il n'y avait pas d'enseignement. » Citation dans Segard 1913, p. 6.
  9. Clement 2000, p. 22.
  10. a b et c Laurent Manœuvre. Les pionnières : femmes et impressionnistes. Éditions des Falaises, 2019, p. 21-23. (ISBN 978-2-84811-406-4).
  11. Streissguth 1998, p. 33.
  12. Segard 1913, p. 6.
  13. Clement 2000, p. 23.
  14. Segard 1913, p. 7.
  15. biographie.
  16. Segard 1913, p. 11.
  17. a et b Clement 2000, p. 24.
  18. a et b Laclotte et Cuzin 1987, p. 430.
  19. Segard 1913, p. 158-171.
  20. a et b Segard 1913, p. 49.
  21. Segard 1913, p. 48.
  22. Segard 1913, p. 68-77.
  23. Segard 1913, p. 45.
  24. Bourguignon 2014, p. 26.
  25. a b et c Clement 2000, p. 18.
  26. Monneret 1987, p. 244-246.
  27. Assouline 2002, p. 259-262.
  28. Monneret 1987, p. 105.
  29. Segard 1913, p. 86-110.
  30. Segard 1913, p. 101.
  31. Bailly-Herzberg 1985, p. 355.
  32. Segard 1913, p. 121.
  33. Segard 1913, p. 123.
  34. Clement 2000, p. 26.
  35. Sally Webster, Eve's Daughter/Modern Woman: A Mural by Mary Cassatt, University of Illinois Press, , 60–61 p. (ISBN 978-0-252-02906-6, lire en ligne).
  36. Clement 2000, p. 28.
  37. Clement 2000, p. 27.
  38. « Cote LH/2550/9 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  39. a b et c Simpson 1996, p. 51.
  40. a b et c Tancrède Hertzog, « Mary Cassatt (1844-1926) : la femme qui peignait les femmes dans un siècle d’hommes », sur cARacTères, (consulté le ).
  41. a et b Simpson 1996, p. 52.
  42. Griselda Pollock, Mary Cassatt, Painter of Modern Women, 1998
  43. Suzanne Lindsay, Mary Cassatt and Philadelphia, 1985
  44. Nancy Mowll Mathews, Mary Cassatt, A Life, 1994
  45. Van-Hoff 2009, p. 74.
  46. Broude 2000, p. 38.
  47. a et b Van-Hoff 2009, p. 72.
  48. Broude 2000, p. 39.
  49. a et b Camille Bichler et Clément Perruche, « Morisot, Cassatt et Bracquemond : l'impressionnisme au féminin », sur France Culture, .
  50. Van-Hoff 2009, p. 76.
  51. a et b Van-Hoff 2009, p. 78.
  52. Broude 2000, p. 41-42.
  53. Broude 2000, p. 37.
  54. a b et c Broude 2000, p. 36.
  55. Pour comprendre le caractère transgressif de cette activité, voir Broude 2000, p. 37.
  56. Pour une analyse du côté métaphorique du tableau, voir Broude 2000, p. 42.
  57. Broude 2000, p. 40.
  58. Catalogue exposition du 28 mai au 7 juin 1935
  59. Bourguignon 2014.
  60. Bénézit 1924, p. 889.
  61. (en-US) « Cassatt, Mary », sur National Women’s Hall of Fame (consulté le ).
  62. « Planetary Names: Corona, coronae: Cassatt Corona on Venus », sur planetarynames.wr.usgs.gov (consulté le ).
  63. (en) « (6936) Cassatt = 6573 P-L », sur le site du Centre des planètes mineures (consulté le ).
  64. « Jardin Mary-Cassatt - Equipements – Paris.fr », sur paris.fr (consulté le ).

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices dans des encyclopédies et manuels de références

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Essais et biographies

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  • Isabelle Enaud-Lechien, Mary Cassatt, une Américaine chez les impressionnistes, Somogy, , 176 p. (ISBN 978-2-7572-1372-8 et 2-7572-1372-5, présentation en ligne).
  • (en) Nancy Hale, Mary Cassatt, New York, Doubleday, , 333 p.
  • (en) Lois V. Harris, Mary Cassat: Impressionist Painter, Pelican Publishing Company, , 32 p. (ISBN 9781589804524) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Laurent Manoeuvre, Mary Cassatt, au cœur de l'impressionnisme, Garches, Garches, À Propos, , 240 p. (ISBN 978-2-915398-17-5, présentation en ligne)
  • Harriet Scott-Chesman, Lydia Cassat lisant le journal du matin, Quai Voltaire,
  • Achille Segard, Mary Cassatt : un peintre des enfants et des mères, Paris, P. Ollendorff, , 208 p. (lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Thomas Streissguth, Mary Cassatt : Portrait of an American Impressionist, Twenty-First Century Books, , 112 p. (ISBN 978-1-57505-291-5, lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Guy Vadepied, Mary Cassatt : les impressionnistes et l'Amérique, Amiens, Éditions Encrage,
  • (en-US) Louisine W. Havemeyer, « Mary Cassatt », Bulletin of the Pennsylvania Museum, Vol. 22, No. 113,‎ , p. 377-382 (6 pages) (lire en ligne),
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  • (en-US) Stewart Buettner, « Images of Modern Motherhood in the Art of Morisot, Cassatt, Modersohn-Becker, Kollwitz », Woman's Art Journal, Vol. 7, No. 2,‎ , p. 14-21 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) John Hutton, « Picking Fruit: Mary Cassatt's "Modern Woman" and the Woman's Building of 1893 », Feminist Studies, Vol. 20, No. 2,‎ , p. 318-348 (31 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Carolyn Kinder Carr & Sally Webster, « Mary Cassatt and Mary Fairchild MacMonnies: The Search for Their 1893 Murals », American Art, Vol. 8, No. 1,‎ , p. 52-69 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Nancy Mowll Mathews, « "The Greatest Woman Painter": Cecilia Beaux, Mary Cassatt, and Issues of Female Fame », The Pennsylvania Magazine of History and Biography, Vol. 124, No. 3,‎ , p. 293-316 (24 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Norma Broude, « Mary Cassatt: Modern Woman or the Cult of the True Womanhood? », Woman's Art Journal, Vol. 21, No. 2,‎ automne 2000-hiver 2001, p. 36-43 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire) Document utilisé pour la rédaction de l’article,
  • Dominique Van-Hoff, « Mary Stevenson Cassatt : une féministe mal comprise », Simone de Beauvoir Studies, vol. 26,‎ , p. 72-80 (JSTOR 45170679) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes

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Articles connexes

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