Super 8 (film)
Titre original | Super 8 |
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Réalisation | J. J. Abrams |
Scénario | J. J. Abrams |
Musique | Michael Giacchino |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Bad Robot Productions Amblin Entertainment Paramount Pictures |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Science-fiction |
Durée | 112 minutes |
Sortie | 2011 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Super 8 est un film de science-fiction américain écrit, produit et réalisé par J. J. Abrams et sorti en 2011. Il est également coproduit par Steven Spielberg.
Ce film a servi de film d'ouverture au Festival international du film de Locarno en 2011.
Synopsis
[modifier | modifier le code], à Lillian, dans l'Ohio. Joseph « Joe » Lamb perd tragiquement sa mère, Elizabeth, dans un accident à la fonderie de la ville. À la suite de cette disparition brutale, les relations entre le garçon et son père Jackson, le shérif-adjoint de la ville, deviennent tendues.
Quatre mois plus tard. Alors que Joe et ses amis Charles, Preston, Martin, Cary et Alice Dainard tournent un film d'horreur amateur en Super 8, le groupe est témoin du déraillement spectaculaire d'un train militaire causé par une camionnette. Arrivant sur les lieux de l'accident, le groupe découvre d'étranges cubes blancs, ainsi que leur professeur de biologie, le docteur Woodward, au volant du véhicule, qui leur intime de ne pas révéler leur présence sur ces lieux sous peine de danger de mort. Au même moment, des militaires dirigés par le colonel Nelec arrivent sur les lieux, mais les jeunes s'enfuient et décident de ne rien dire à leurs parents.
Dans les jours qui suivent, une force invisible se met à rôder dans la ville, faisant disparaître des habitants, des animaux, ainsi que des appareils électriques, effrayant les habitants. Après la volatilisation du shérif, le père de Joe prend le commandement de la brigade et essaye de percer le mystère qui entoure l'accident du train. Jack découvre bientôt sur une fréquence militaire que le colonel Nelec est sur le point de déclencher l'opération Courte-Distance. Nelec déploie bientôt son armée dans toute la ville, après avoir achevé le docteur Woodward, à la suite d'un interrogatoire infructueux.
Le tournage du film continue et Charles devient jaloux de la relation entre Joe et Alice qui semblent éprouver chacun les mêmes sentiments. Cette dernière est un soir chassée de chez elle par son père Louis, un alcoolique imbu de lui-même et incapable de se gérer correctement et responsable — malgré lui — de la mort d'Elizabeth Lamb. Mais alors qu'elle fuit sur son vélo, Alice est capturée à son tour. Le lendemain, Charles et Joe découvrent que la caméra tombée à terre lors de l'accident du train a filmé une créature gigantesque s'échappant d'un wagon retourné. Au même moment, l'armée provoque un gigantesque incendie dans le but de faire évacuer la ville tout entière.
Joe retrouve le père d'Alice qui lui dit qu'une créature a enlevé sa fille. Joe, Charles, Cary et Martin retournent alors en ville en cachette et se dirigent vers leur lycée, où ils enquêtent sur le Dr Woodward. Dans les journaux, films et enregistrements audio trouvés, ils découvrent que le gouvernement a caché l'existence d'un extraterrestre qui s'est écrasé sur Terre en 1958. La créature souhaitait reconstruire son vaisseau en utilisant les cubes blancs et retourner chez elle, mais elle avait été capturée par l'armée de l'air sous les ordres de Nelec. En l'étudiant, Woodward avait développé une liaison télépathique avec la créature qui lui fit comprendre qu'elle souhaitait juste rentrer chez elle sans présenter un réel danger pour les humains (son attitude agressive n'étant en fait que de la défense). Lorsqu'il apprit que cette dernière allait être déplacée d'une base militaire à une autre, Woodward espérait pouvoir la sauver en entrant en collision avec le train.
Alors que Jack s'enfuit de la base avec le père d'Alice, Nelec et son équipe capturent les garçons pour les ramener à bord d'un bus. Mais en route ils sont attaqués puis tués par le monstre, à l’exception des jeunes qui s'échappent. Joe et Cary partent alors à la recherche d'Alice près du cimetière, dans une gigantesque galerie souterraine où ils découvrent le repaire de l'extraterrestre. Ce dernier a entreposé le matériel volé pour créer un électro-aimant juste sous le château d'eau. Joe réussit à sauver Alice et convainc la créature de les laisser partir. Entre-temps, l'armée, déployée en masse dans la ville, subit les effets de l’aimant extraterrestre, l'empêchant de répliquer face à l'alien. Peu après, l'aimant géant attire tous les cubes blancs qui commencent à s'aligner pour prendre la forme d'un vaisseau spatial. Alors que Jack et Louis retrouvent leurs enfants, ils regardent l'engin disparaître vers les étoiles…
Pendant le générique de fin, le film complet, The Case, est présenté avec un épilogue mettant en vedette Charles plaidant devant les juges du Festival pour sélectionner son film.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre français et original : Super 8
- Réalisation et scénario : J. J. Abrams
- Première assistante : Tommy Gormley
- Secondes assistantes : Lynn Struiksma et Ian Calip
- Décors : Martin Whist
- Costumes : Ha Nguyen
- Photographie : Larry Fong
- Montage : Maryann Brandon et Mary Jo Markey
- Montage du son : Matthew Wood
- Effet sonore : Ben Burtt
- Musique : Michael Giacchino
- Supervision musicale : George Drakoulias
- Casting : April Webster et Alyssa Weisberg
- Direction artistique : David Scott et Domenic Silvestri
- Production : J. J. Abrams, Steven Spielberg et Bryan Burk
- Production exécutive : Guy Riedel
- Productions associées : Udi Nedivi et Ben Rosenblatt
- Sociétés de production : Paramount Pictures, Amblin Entertainment et Bad Robot Productions
- Sociétés de distribution :
- Sociétés des effets spéciaux : Evil Eye Pictures, Industrial Light & Magic et Scanline VFX
- Supervision des effets spéciaux : Steve Riley
- Supervision des effets visuels : Russell Earl, Kim Libreri (ILM), Daniel P. Rosen (Evil Eye Pictures) et Stephan Trojansky (Scanline VFX)
- Format : Couleur — 2.35 : 1 • 35 mm — SDDS • DTS • Dolby Digital
- Budget : 50 000 000 de dollars
- Pays de production : États-Unis
- Langue originale : anglais
- Genre : Science-fiction
- Dates de sortie :
- États-Unis, Canada :
- Belgique :
- France / Suisse :
- Durée : 112 minutes
- Interdictions :
- France : film tous publics lors de sa sortie en salles.
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
Distribution
[modifier | modifier le code]- Joel Courtney (VF : Gabriel Bismuth-Bienaimé ; VQ : Charles Sirard Blouin) : Joseph « Joe » Lamb
- Elle Fanning (VF : Claire Bouanich ; VQ : Laurie Mastropietro) : Alice Dainard
- Kyle Chandler (VF : Emmanuel Curtil ; VQ : Daniel Picard) : Jackson « Jack » Lamb
- Riley Griffiths (en) (VF : Martin Faliu ; VQ : Damien Muller) : Charles Kaznyk
- Ryan Lee (en) (VF : Antoine Fonck ; VQ : Vassili Schneider) : Cary
- Ron Eldard (VF : Jérémie Covillault ; VQ : Pierre Auger) : Louis Dainard
- Noah Emmerich (VF : Lionel Tua ; VQ : Benoît Rousseau) : Colonel Nelec
- Michael Hitchcock (VF : Patrick Osmond) : Rosko, un shérif-adjoint
- Gabriel Basso (VF : Brice Ournac ; VQ : Alexandre Bacon) : Martin
- Amanda Michalka (VF : Camille Donda ; VQ : Kim Jalabert) : Jennifer « Jen » Kaznyk
- Zach Mills (en) (VF : Pierre Casanova ; VQ : Gabriel Turbide) : Preston
- Glynn Turman (VF : Peter King ; VQ : Denis Mercier) : le Dr Woodward
- Dan Castellaneta (VF : Patrick Préjean) : Izzy, le concessionnaire automobile
- David Gallagher (VF : Fabrice Trojani ; VQ : Gabriel Lessard) : Donny
- Beau Knapp (VF : Charles Germain) : Breen
- Anthony Shell (VF : Patrick Cohen) : Policier
- Jessica Tuck (VF : Véronique Borgias ; VQ : Valérie Gagné) : Mme Kaznyk
- Joel McKinnon Miller (VQ : Denis Gravereaux) : M. Kaznyk
- Andrew Miller et Jakob Miller : les jumeaux Kaznyk
- Jade Griffiths : Benji Kaznyk
- Britt Flatmo : Peg Kaznyk
- Richard T. Jones (VF : Frantz Confiac ; VQ : Patrick Chouinard) : Overmyer
- Amanda Foreman : Lydia Connors, présentatrice du journal de Channel 14
- Brett Rice (en) (VF : Richard Leblond) : le shérif Pruitt
- Michael Giacchino : Crawford, un shérif-adjoint
- Jack Axelrod (VF : Gérard Surugue) : M. Blakely
- Bruce Greenwood : Cooper[1]
- Tim Griffin : un commando
- Caitriona Balfe : Elizabeth Lamb
- Dale Dickey : Edie
- Source et légende : version française (VF) sur Voxofilm[2]
Source et légende : version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[3]
Production
[modifier | modifier le code]Développement
[modifier | modifier le code]Super 8 est un film rendant hommage au cinéma fantastique des années 1980, plus spécialement à celui de Steven Spielberg avec des références évidentes à E.T. l'extra-terrestre, Rencontres du troisième type ou encore Les Goonies. Comme le personnage héroïque du film Joe, Steven Spielberg a tourné des films en Super 8 à l'âge de douze ans et l'une de ses scènes favorites était une catastrophe ferroviaire filmée avec un train électrique. Bien des années plus tard, c'est aux jeunes d'une quinzaine d'années J. J. Abrams et Matt Reeves qu'il confie la restauration de ses films Super 8[4],[5].
Après le succès de son film Star Trek, J. J. Abrams collabore avec Spielberg sur le scénario de Super 8, au début présenté par la presse comme étant rattaché à Cloverfield (ce que J. J. Abrams démentit). Super 8 est le premier film produit par Amblin Entertainment, Bad Robot Productions et Paramount Pictures.
La première bande-annonce est dévoilée en et déclenche un véritable jeu en réalité alternée (ou ARG) lorsqu'une phrase cachée dans la vidéo (Scariest Thing I Ever Saw), mène les internautes à un site web contenant des indices sur l'intrigue du film[6]. Un autre site viral Poppeteers Rocket est également mis en ligne en même temps que le site officiel. En , le jeu vidéo Portal 2 contenait également un niveau plaçant le joueur à bord du train militaire après le déraillement [7].
C'est l'artiste Neville Page, qui a déjà travaillé sur Avatar, Star Trek ou encore Green Lantern qui s'est occupé du design de la créature nommée Cooper durant la production[8].
Tournage
[modifier | modifier le code]Avec un budget de 50 000 000 de dollars, le tournage a débuté le [9] et s'est déroulé principalement à Weirton dans l’État de Virginie-Occidentale et en studios à Los Angeles en Californie[10]. Weirton a été choisie en raison de son style très similaire à une ville sidérurgique des années 1970[5]. De nombreux habitants non professionnels ont été engagés pour de petits rôles dans le film, notamment dans la scène dans laquelle les habitants se plaignent au shérif-adjoint[5].
Musique
[modifier | modifier le code]
Sortie | |
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Enregistré |
2011 |
Durée | 69:84 |
Genre | Musique classique |
Label | Varèse Sarabande |
Critique |
La musique est composée par le compositeur Michael Giacchino, ami de J. J. Abrams depuis plusieurs années grâce à leurs sept collaborations précédentes (Star Trek, Mission impossible 3, Fringe, Cloverfield, Alias, Six Degrees, Lost : Les Disparus). Il s'inspire entre autres de thèmes musicaux des années 1970.
Chaque thème du film reprend la même mélodie de base, mais à quelques notes près, car chacune a un développement différent. La musique est souvent oppressante, mais obtient quelques variations joyeuses, en rapport avec Joe, Alice, etc.
Le piano y est omniprésent, et la majorité des instruments choisis est en rapport avec les personnages et l'histoire. La musique occupe une place majeure dans le film.
Bande originale de Super 8 | |||||||||
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No | Titre | Durée | |||||||
1. | Super 8 | 1:44 | |||||||
2. | Family Matters | 0:29 | |||||||
3. | Model Painting | 0:41 | |||||||
4. | Acting Chops | 0:40 | |||||||
5. | Aftermath Class | 5:54 | |||||||
6. | Thoughts of Cubism | 0:48 | |||||||
7. | We'll Fix It in Post-Haste | 0:44 | |||||||
8. | Productions Woes | 0:34 | |||||||
9. | Train of Thought | 0:35 | |||||||
10. | Circle Gets the Cube | 1:06 | |||||||
11. | Breen There, Ate That | 1:12 | |||||||
12. | Dead Over Heels | 0:48 | |||||||
13. | Gas and Go | 1:34 | |||||||
14. | Looking for Lucy | 0:49 | |||||||
15. | Radio Haze | 1:08 | |||||||
16. | Mom's Necklace | 1:33 | |||||||
17. | Shootus Interuptus | 2:35 | |||||||
18. | Thoughts of Mom | 1:41 | |||||||
19. | Woodward Bites It | 1:54 | |||||||
20. | Alice Projects on Joe | 2:29 | |||||||
21. | Neighborhood Watch - Fail | 4:45 | |||||||
22. | The Evacuation of Lillian | 3:40 | |||||||
23. | A Truckload of Trouble | 0:57 | |||||||
24. | Lambs on the Lam | 2:40 | |||||||
25. | Woodward's Home Movies | 2:40 | |||||||
26. | Spotted Lambs | 1:37 | |||||||
27. | Air Force HQ or Bust | 1:04 | |||||||
28. | World's Worst Field Trip | 3:36 | |||||||
29. | The Siege of Lillian | 2:57 | |||||||
30. | Creature Comforts | 10:10 | |||||||
31. | Letting Go | 5:18 | |||||||
32. | Super 8 Suite | 5:54 | |||||||
33. | The Case | 3:28 | |||||||
69:84 |
Des chansons des années 1970 sont également utilisées pour quelques scènes du film comme le grand succès de The Knack My Sharona, qui sert aussi de générique de fin.
- Don't Bring Me Down d'Electric Light Orchestra
- Match Game Opening Theme de Robert Israël
- Easy de The Commodores
- My Sharona de The Knack
- Bye Bye Love de The Cars
- Silly Love Songs de Wings
- Heart of Glass de Blondie
- Musique du cartoon High Diving Hare de Carl W. Stalling
- Undercover Angel d'Alan O'Day
- Le Freak de Chic
On pourrait aussi faire un clin d’œil, à la vision qu'ont certains adultes envers les lecteurs MP3 de nos jours, au baladeur à cassette ; lors d'une scène du film, le shérif dit au jeune homme travaillant dans la station essence qui écoute de la musique sur un baladeur : « Chacun sa propre musique dans ses oreilles ?! On est sur la mauvaise pente. »
Clins d'œil et références
[modifier | modifier le code]- La ville du film, Lillian, a été nommée en hommage à la grand-mère de J. J. Abrams[12].
- La station essence s'appelle Kelvin Gasoline, en référence au grand-père de J. J. Abrams nommé Kelvin. Le réalisateur a déjà utilisé ce nom dans plusieurs de ses projets précédents : comme le personnage Kelvin Inman dans Lost : Les Disparus ou le vaisseau spatial USS Kelvin dans Star Trek[12]. Toujours dans la scène de la station essence, on peut apercevoir brièvement un logo de Slusho, qui était le faux titre et un élément du marketing viral autour de Cloverfield, produit par J. J. Abrams en 2008[12]. La société de stations essence Kelvin sera plus tard visible au début de The Cloverfield Paradox.
- Quand le shérif-adjoint parle à son fils Joe au restaurant, il lui dit « J'ai rien contre tes copains, tu le sais. Je les aime bien tes copains. Sauf Cary qui se fait un devoir de mettre le feu à tout ce qu'il voit ! » (en anglais : « I got nothing against your friends, I like your friends. Except for Cary, who can't seem to stop lighting things on fire. »). Cela fait référence au roman Carrie de Stephen King, où Carrie White fait exploser un lycée et une station service par télékinésie. De plus, Carrie est le roman préféré de Juliet Burke dans Lost : Les Disparus[12].
- Le film contient plusieurs clins d’œil au réalisateur de films de zombies George A. Romero : dans le film The Case tourné par les enfants, Romero Chemicals est une entreprise responsable de l'infection zombie ; l'un des enfants, Charles, possède une affiche de l'un de ses films dans sa chambre[12].
- Le réalisateur J. J. Abrams fait un caméo : lors de l'évacuation de la ville, il joue le militaire sortant de la jeep (à 01:08:15 de film)[12].
- À la fin du film, on peut voir brièvement l'enseigne d'une taverne appelée James Locke. Cela renvoie aux personnages de James Ford et John Locke dans Lost : Les Disparus. Par ailleurs, un acteur nommé James Locke a joué dans un épisode de la série télévisée[12].
- On peut voir la bicyclette du film E.T. l'extra-terrestre « collée » parmi d'autres objets métalliques au château d'eau[12].
- Dans le jeu Portal 2 de Valve, on peut « essayer » un trailer interactif du film dans la partie Extra, au moment de l'accident du train.
- Lorsque Joe est en train de maquiller Alice en mort-vivant (autour de 00:39 de film), cette dernière lui demande où il a appris à maquiller pour les films, il lui répond « Dans le livre de Dick Smith sur le maquillage de monstre » : ce livre de Dick Smith, Dick Smith's Do-It-Yourself Monster Make-Up Handbook, a été publié en 1985, alors que le film est censé se dérouler en 1979[13].
Distinctions principales
[modifier | modifier le code]Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
- Hollywood Film Festival 2011
- Spotlight Award pour Elle Fanning
- Satellite Awards 2012
- Nomination au Satellite Award de la meilleure actrice dans un second rôle pour Elle Fanning
- Phoenix Film Critics Society Awards 2011
- Meilleur casting pour l'ensemble des acteurs et actrice du film
- Nomination pour la Meilleure révélation pour Elle Fanning
- Golden Reel Awards 2012
- Meilleur montage son de dialogues et doublage d'un long-métrage
- Critics' Choice Movie Awards 2012
- Nomination au Critics' Choice Movie Award du meilleur film d'action
- Nomination au Critics' Choice Movie Award du meilleur son
- Nomination au Critics' Choice Movie Award des meilleurs effets visuels
- Nomination au Critics' Choice Movie Award du meilleur espoir pour Elle Fanning
- Saturn Awards 2012
- Saturn Award de la meilleure réalisation pour J. J. Abrams
- Saturn Award de la meilleure musique pour Michael Giacchino
- Saturn Award du meilleur jeune acteur pour Joel Courtney
- Nomination au Saturn Award du meilleur film de science-fiction
- Nomination au Saturn Award du meilleur scénario pour J. J. Abrams
- Nomination au Saturn Award du meilleur montage pour Mary Jo Markey et Maryann Brandon
- Nomination au Saturn Award du meilleur jeune acteur pour Elle Fanning
Sortie
[modifier | modifier le code]Accueil
[modifier | modifier le code]Sur le site Rotten Tomatoes, le film a reçu des critiques majoritairement favorables, avec une note moyenne de 7,4⁄10 et 82 % d'avis favorables basées sur 266 critiques. Le site le résume en indiquant que le film « Peut évoquer des souvenirs d'été classique des blockbusters avec un peu trop d'empressement pour certains, mais Super 8 a des sensations visuelles, éblouissantes, et de la profondeur émotionnelle à épargner. »[14]
Allociné démontre que le film a reçu une note de 3,8⁄5 basée sur vingt-trois critiques de presse, et une bonne moyenne de 3,6⁄5 par les spectateurs.
Quant à l’IMDb, il a obtenu une moyenne de 7,1⁄10 obtenu sur une moyenne de 174 881 utilisateurs.
Sur Metacritic, il obtient le «metascore» de 72⁄100 basées sur 41 critiques et de 7,3⁄10 par les utilisateurs basées sur 608 utilisateurs[15].
Enfin le film est classé parmi les dix meilleurs films de l'année par les Cahiers du cinéma[16], qui lui consacrent une couverture en .
Box-office
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Bruce Greenwood est l'acteur qui a interprété la créature lors des séances de capture de mouvement. Comme celle-ci était surnommée « Cooper » pendant le tournage, l'acteur a été crédité de ce nom au générique (source : IMDB)
- « Fiche de doublage français », sur Voxofilm (consulté le )
- « Carton de doublage québécois », sur Doublage Québec (consulté le )
- Fabrice Leclerc, « Super 8, les références à Spielberg décryptées », sur L'Express, Studio Ciné Live,
- Bonus du blu-ray de Super 8.
- « Super 8 : le marketing viral ne fait que commencer », sur Première.fr,
- « Portal 2 : Un trailer interactif pour « Super 8 » », sur HDnumerique.com,
- (en) « Creature Designer Neville Page Talks Super 8, Prometheus and More! », sur Dreadcentral.com,
- « Box office / business for Super 8 » (fiche business — section
business
inconnue, mal supportée par le modèle{{imdb titre}}
.Voir documentation de {{imdb titre/Section}}, SVP. — ), sur l'Internet Movie Database - « Locations for Super 8 » (tournage et production), sur l'Internet Movie Database
- (en) Critique de la bande originale - AllMusic.com
- « Anecdotes » ((en) anecdotes), sur l'Internet Movie Database
- (en) « Dick Smith's Do-It-Yourself Monster Make-Up Handbook », sur Goodreads (consulté le )
- (en) « Super 8 », sur Rotten Tomatoes
- (en) « Super 8 », sur Metacritic
- Cahiers du cinéma, no 673, décembre 2011
- (en) « Super 8 », sur Box Office Mojo (consulté le )
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Film américain sorti en 2011
- Film de science-fiction américain
- Film se déroulant dans l'Ohio
- Film se déroulant dans les années 1970
- Film tourné en Virginie
- Film d'Amblin Entertainment
- Film de Paramount Pictures
- Film de Bad Robot Productions
- Film mettant en scène un extraterrestre
- Film mettant en scène un réalisateur
- Film sur une catastrophe ferroviaire
- Film sur l'amitié
- Film tourné en capture de mouvement
- Film se déroulant dans une ville fictive aux États-Unis
- Film IMAX
- Film réalisé par J. J. Abrams
- Film avec une musique composée par Michael Giacchino
- Film classé PG-13 aux États-Unis