Utilisateur:Ab8442
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Qui suis-je ?
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Ma langue maternelle est le français. Les 2 derniers quarts sont piémontais. 42 J'ai été élève au lycée du Parc : X 1963 Je suis polytechnicien. À 7 ans, j'assiste en 1949 à mon 1er match de rugby France A - France B au stade des Iris à Villeurbanne. Dans les discussions, je goûte peu ceux qui font du mal aux mouches. Je suis l'un des nombreux magiciens de la base pierfit. |
Éphémérides
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Avertissement
[modifier | modifier le code]Mon âge, la dégradation de mon état de santé et l'évolution du comportement général des contributeurs me conduisent à interrompre mes contributions à Wikipedia, après celles sur le calendrier républicain. Je ne dérogerai à cette règle et ferai valoir mon devoir d'ingérence que si, au hasard de mes lectures d'articles, je trouve des contre-vérités mettant en cause des personnes.
Cela a été le cas, par exemple, pour la catastrophe de la télécabine de la vallée Blanche dans le massif du Mont-Blanc le où l'on comparera l'article en ligne au avec l'article en ligne au .
« Défaire sans justifier, ajouter des catégories et des demandes de références, réprimander sur l'orthographe et la syntaxe. Ce sont les trois règles d'or si vous voulez être un jour administrateur ou bureaucrate. Surtout ne jamais contribuer en ajoutant du contenu ! Le pouvoir est dans la sanction, pas dans la création. C'est en asservissant les péons que vous deviendrez leur maître. À vrai dire, à quoi bon contribuer sérieusement à un article lorsqu'il est moins fatiguant de faire trois ou quatre clics ? »
Je suis las en effet de tous ces correcteurs compulsifs qui caviardent allègrement les articles au feutre rouge tels les professeurs qui corrigeaient leurs copies de potaches. Je leur ferais respectueusement observer que pour être en mesure de corriger une copie, encore faut-il qu'elle ait été préalablement rédigée, et j'ajouterais même qu'il est toujours instructif de s'intéresser de près aux articles qu'ils ont pu eux-mêmes créer (?), ne serait-ce que pour s'en inspirer et prendre de la graine (Cf. cet article supprimé après une discussion sans appel).
En rédigeant ces lignes, je ne connaissais pas encore Wikipedia, son univers impitoyable !
Sur réquisition d'un accusateur public, Fouquier-Tinville d'un autre temps acceptant mal apparemment qu'un totem de sa création n'ait pas été plébiscité par le collège électoral Wikipedia, la justice s'est exercée, le juge d'application des peines Wikipedia a décidé de la manière dont elle devait être exécutée, elle l'a été.
L'extrême gravité des faits reprochés — justifiant à l'évidence de ne pas me « laisser s'en tirer à si bon compte » — interdisait l'indécence de tout appel de la condamnation. Je ne suis même pas persuadé que l'accusateur public se soit finalement satisfait du jugement.
Cette péripétie conclue par cette flétrissure me convainc plus que jamais de cesser désormais toute nouvelle contribution. Mes ultimes contributions, réservées aux initiés ou aux curieux qui consultent cette page utilisateur, ne seront jamais mises en ligne, mais elles sont consultables ici.
L'X sous le signe du Bélier ne parlera vraisemblablement qu'aux polytechniciens ; l'article sur les petits problèmes littéraires devrait intéresser ceux qui se piquent de littérature, les férus de calendrier découvriront quelques curiosités du calendrier grégorien, enfin ceux qui ont dans leurs ancêtres une branche savoyarde s'instruiront avec les glanes d'histoire savoyarde.
À choisir, l'« ado désœuvré et attardé » qui persiste à butiner çà et là me décrit sans doute mieux qu'« un sénile mal faisant » !
Un essai transformé
[modifier | modifier le code]J'ai cherché à mieux faire connaître qui et quel sportif était Yves du Manoir en complétant l'article qui lui est consacré, créé en 2005 ans par Peter17 (voir ici l'état de l'article le ).
Suivant en cela les conseils de Boileau : Hâtez-vous lentement, et sans perdre courage, vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez-le sans cesse, et le repolissez, ajoutez quelquefois, et souvent effacez, je n'ai cessé depuis décembre 2013 de le corriger, le compléter et l'amender (voir ici l'état de l'article le ) en même temps que je m'initiais à la syntaxe Wiki avec l'aimable assistance d'AntonyB qui a eu la patience de guider mes premiers pas. Grâce à lui, mais aussi à tous ceux qui y ont apporté leurs contributions, cet article devait être promu « Article de qualité » le .
Il ne mérite sans doute plus cette distinction : six ans plus tard, la patrouille Wikipedia en a supprimé en effet quasiment toutes les illustrations au motif que ces dernières ne respectaient plus les derniers critères d’admissibilité du projet Wikimedia Commons.
Pour honorer la mémoire d'Yves du Manoir, j'ai tenté également de reconstituer sa généalogie :
- « Yves Franz Loÿs Marie LE PELLEY DUMANOIR » sur le site de généalogie « GENEANET » ;
- ou encore et davantage renseigné « Yves Franz Loÿs Marie LE PELLEY DUMANOIR » sur le site de généalogie « base Pierfit ».
Pourquoi ?
[modifier | modifier le code]J'ai en effet au moins deux points communs avec Yves du Manoir :
- Nous avons usé nos fonds de culotte sur les mêmes bancs de l'École polytechnique sur la Montagne Sainte-Geneviève, lui avec la promotion 1924, moi quelque quarante années plus tard ;
- Nous avons tous deux pratiqué le rugby mais la comparaison s'arrête tout de suite là, car sur le terrain sa classe parlait, tandis que moi, à part composer en nostalgie du temps jadis cette chanson de rugby...
Grâce à Yves du Manoir, j'ai connu une de mes premières grandes émotions dans un stade de rugby. Quand j'étais élève à l'École en effet, la F.F.R., qui savait alors vivre et avait de bonnes manières, faisait parvenir en hommage à ce glorieux ancien quelques invitations pour les matchs de l'équipe de France au stade de Colombes que se disputaient les joueurs de l'équipe de rugby. C'est dans ces conditions que je devais assister le dans la tribune Marathon au match France-Galles du Tournoi des V Nations [(en) lire en ligne].
Pour beaucoup, ce match fut le summum du french flair, le chef d’œuvre des frères André et Guy Boniface (visionner le résumé filmé ici). Il fut aussi celui où pour la première fois, un arbitre français officia - accidentellement - dans un match du Tournoi des V Nations. A la 32e minute survient en effet un incident qui va changer le cours de la rencontre : la France mène 15 à 0 quand l'arbitre M. Gilliland (Irlande) se blesse au mollet.
Le règlement stipulait que l'on devait tirer au sort le nouvel arbitre de champ parmi les 2 juges de touches, l'un gallois, l'autre français. C'est ce qu'exigeait de Michel Crauste, capitaine français, Clive Rowlands, demi de mêlée et capitaine gallois, lorsqu'il fut désavoué par le président de la Welsh Rugby Union, lequel déclara que cela faisait trop longtemps que les français attendaient dans l'antichambre pour arbitrer un match du tournoi et qu'en conséquence on ne tirerait pas au sort : c'est ainsi que Bernard Marie, juge de touche français, prit le sifflet.
Bernard Marie, le père de Michèle Alliot-Marie, avait déjà dirigé une rencontre d'une des nations de l'I.R.B. en 1964, pour un pays-de-Galles – Fidji, mais encore jamais une rencontre du tournoi. Cet incident devait changer le cours du match même si la France l'emporta 22 à 13. Bien des années plus tard, j'en discutais avec André Boniface sur le chemin de Lansdowne Road à Dublin. Il m'affirma « Petit, l'arbitre ne se blesse pas, on leur passe 40 pions ! » [lire en ligne].
J'ajouterai pour l'anecdote que quelques semaines plus tôt, au polygone de Vincennes ou à l'I.N.S., ce même Bernard Marie, du Comité de l'Île-de-France, nous avait arbitrés contre Saint-Cyr au tournoi des grandes écoles militaires, rencontre que l'X avait gagnée 6 à 3, autre match de légende…
Autres contributions
[modifier | modifier le code]Famille Le Pelley
[modifier | modifier le code]L'article sur Yves du Manoir cite trois personnages de la famille Le Pelley du Manoir (article auquel j'ai également contribué) dont j'ai complété, ou repris entièrement, les biographies :
- Georges-René Pléville Le Pelley, dit « le Corsaire à la jambe de bois », officier de marine, aristocrate et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles ;
- Pierre Dumanoir Le Pelley, comte Dumanoir, vice-amiral français des XVIIIe et XIXe siècles.
- Zizi du Manoir, la plus jeune sœur d'Yves, aviatrice, skieuse alpine et joueuse de hockey sur glace française.
Pays de savoie
[modifier | modifier le code]Par ailleurs, j'ai complété ou créé, parmi d'autres, les articles qui suivent relatifs à des personnages du pays de Savoie, terre d'une partie de mes ancêtres. J'ai rédigé également des glanes d'histoire savoyarde qui ne seront jamais mises en ligne pour les raisons évoquées supra.
- Jean d'Arenthon d'Alex, ecclésiastique savoyard, prince-évêque de Genève de 1661 à 1695
- Joseph Antoine Chatron, médecin, disciple puis continuateur et fils spirituel de Samuel Hahnemann, le fondateur de l’homéopathie ;
- Aimé Constantin, érudit, philologue, écrivain français ;
- Marguerite Frichelet-Avet, appelée parfois « la petite Jeanne d'Arc de la Vallée de Thônes » ;
- Marie Suize, alias Marie Pantalon, chercheuse d'or en Californie où elle obtiendra l’autorisation officielle de porter le pantalon ;
- Philippe Pollet-Villard, acteur, réalisateur, scénariste et écrivain français ;
- Aimé Vaschy (X 1875), ingénieur des télégraphes et mathématicien français dont je découvris le théorème éponyme dans les années 1960 sur les bancs évoqués supra ;
- Télécabine Panoramic Mont-Blanc, un téléphérique de type pulsé situé en France, en Haute-Savoie. Inauguré à Noël 1957, il est le dernier maillon de la chaîne de remontées mécaniques permettant de relier Chamonix à Courmayeur.
Chromosome X
[modifier | modifier le code]La recherche du chromosome X dans le rugby français du premier quart du XXe siècle m'a conduit à enrichir ou créer les articles suivants qui viennent compléter celui consacré à Yves du Manoir :
- Francis Mouronval (X 1901), international de rugby au Stade français et son frère jumeau Pierre (X 1901), joueur de rugby au Stade français ;
- Jacques Müntz (X 1901), arbitre international de rugby à XV ;
- Marcel Noguès, as de l'aviation français pendant la Première Guerre mondiale, crédité de treize victoires, éphémère élève de la promotion 1919 S ;
- Étienne Piquiral (X 1921), dix-neuf fois international de rugby, vice-champion olympique de rugby en 1924.
- Khalid Lachheb (X 1995), champion d'Europe junior du saut à la perche en 1993, et son frère jumeau Taoufik (X 1995), vice-champion d'Europe junior du saut à la perche en 1993. La recherche du même chromosome dans le sport en général m'a fait connaître ces jumeaux perchistes de classe mondiale lors de leur scolarité à l'École.
Voyage de découvertes aux terres australes
[modifier | modifier le code]Parmi les officiers, officiers mariniers et équipages du voyage de découvertes aux terres australes, périple de l'expédition Baudin, partie du Havre le , qui ramena en métropole un très grand nombre de spécimens botaniques ou zoologiques inconnus par les savants européens de l'époque, on remarque six jeunes gens des toutes premières promotions de l'École polytechnique, récemment créée par la Convention en 1794.
- Charles-Pierre Boullanger (X1794), ingénieur géographe français à bord du Géographe au départ de l'expédition ;
- Charles Moreau (X 1794), officier de marine, l'un des sinon le premier polytechnicien à servir dans cette arme, embarqué sur le Naturaliste au départ de l'expédition ;
- Pierre Faure (X1795), ingénieur géographe français à bord du Naturaliste au départ de l'expédition ;
- Jean-Marie Maurouard (X1795), officier de Marine français, aide-timonier à bord du Géographe au départ de l'expédition ;
- Joseph Charles Bailly (X1796), minéralogiste français à bord du Naturaliste au départ de l'expédition ;
- Hyacinthe de Bougainville (X1799), baron de l'Empire et contre-amiral français, aspirant de Marine de 2e classe à bord du Géographe au départ de l'expédition.
Un septième nom est parfois ajouté à cette liste, celui de l'astronome Pierre-François Bernier – souvent confondu avec un quasi parfait homonyme Pierre-Justin Bernier (X1794) – qui s'est effectivement présenté sans succès à l'École polytechnique, d'où la biographie de ce quasi-polytechnicien.
- Pierre-François Bernier, astronome français à bord du Naturaliste au départ de l'expédition, mort le au large des côtes de l'île de Timor.
Comme Boullanger et Moreau, un autre membre de l’expédition a appartenu à la première promotion de 1794, mais après un an de scolarité, il est radié de la liste des élèves avec trois autres camarades pour insuffisance de travail par le ministre de l’Intérieur, sur demande de Lamblardie, directeur de l’école.
Contributions diverses
[modifier | modifier le code]Par ailleurs mes travaux m'ont fait également apporter ma contribution aux articles suivants (par ordre alphabétique des patronymes ou des articles) :
- Charles de Beaumont, chevalier d'Éon, diplomate, espion, officier et homme de lettres français ;
- Maurice Bernard (physicien) (X 1948), ingénieur général des télécommunications, directeur du Centre national d'études des télécommunications, directeur de l'Enseignement de la Recherche de l'École polytechnique ;
- Nicolas Antoine Boulanger, ingénieur, homme de lettres et philosophe français :
- André Boulloche (X 1934), homme politique français, Compagnon de la Libération, Ingénieur général des Ponts et Chaussées et ministre du général de Gaulle ;
- Maurice Boyau, as de l'aviation français pendant la Première Guerre mondiale, capitaine de l'Équipe de France de rugby à XV lors du tournoi des V Nations avant guerre ;
- Calendrier républicain, refonte complète de l'article, en particulier le paragraphe sur le calendrier républicain perpétuel, ainsi que les formules de conversion de l'article Concordance des dates des calendriers républicain et grégorien mentionné dans les articles connexes ;
- Cherif Cadi (X1887), premier musulman de l'Algérie française admis à l'École polytechnique ;
- Berthe Cerny, actrice française, sociétaire de la Comédie-Française ;
- Charles-Louis Du Pin (X 1834), colonel français, archétype du militaire français intrépide du XIXe siècle ;
- Évariste (chanteur), qui a fait profiter ses camarades taupins, dont j'étais, de ses premiers textes sur l'air des chansons du hit-parade de Salut les copains ;
- Hyacinthe Garella (X 1796), ingénieur des Ponts et Chaussées ;
- Olympe de Gouges, femme de lettres et femme politique, considérée comme une des pionnières du féminisme français ;
- Joseph Ignace Guillotin, médecin, humaniste et homme politique français ;
- François Nicolas Benoît Haxo, surnommé « le Vauban du XIXe siècle », ingénieur du génie militaire et général français de la Révolution et de l’Empire ;
- Henri Dominique Lallemand (X 1796), général français de la Révolution et de l'Empire qui s'exile aux États-Unis sous la Restauration ;
- Jean-Charles Langlois (X 1806), colonel d'Artillerie et artiste peintre des scènes militaires
- Fernand Marie Joseph Antoine Lavit (X 1896), officier d'artillerie de marine et administrateur colonial français ;
- Joseph-Fortuné-Séraphin Layraud, artiste peintre français Prix de Rome en 1863 ;
- Jean-Pierre Leguay (historien), historien médiéviste, auteur de nombreux travaux sur le Moyen Âge ;
- Famille Morel-Journel, famille française de la bourgeoisie lyonnaise, active notamment dans le commerce de la soie depuis le XIXe siècle ;
- Camille Mortenol (X1880), guadeloupéen, polytechnicien, capitaine de vaisseau de la Marine nationale ;
- Jean-Léonard-Marie Poiseuille (X1815), physicien et médecin ;
- Yves Rocard (père de Michel), physicien français, responsable scientifique des programmes qui conduisirent à la mise au point de la bombe atomique française ;
- Adèle de Romance, artiste peintre française, considérée en son temps comme une grande portraitiste ;
- Henri Rouart (X 1853), ingénieur, industriel, artiste-peintre et collectionneur français ;
- Adrien Charles Salanson (X 1843), général de division français, commandant de l'École polytechnique ;
- Jean-Paul Sartre, écrivain et philosophe français, représentant du courant existentialiste ;
- Pierre Satre (X 1929), concepteur de l’avion de ligne Sud-Aviation SE 210 Caravelle ;
- Famille Seguin, famille qui a donné plusieurs ingénieurs et hommes d'affaires ayant joué un rôle essentiel dans le développement industriel de la France aux XIXe siècle et XXe siècle ;
- Marc Seguin, scientifique, inventeur, ingénieur et entrepreneur français ;
- Roman Sołtyk, officier polonais, général de brigade de l'artillerie polonaise sous le Premier Empire, mort en exil en France après l'échec de l'insurrection polonaise de 1830-1831 ;
- Jehan Soudan de Pierrefitte, journaliste et écrivain français, l'un des deux fondateurs en 1896 de l'association Le Souvenir normand ;
- Alexandre Thibaut de la Rochethulon, membre de la noblesse française, l'un des deux fondateurs en 1896 de l'association Le Souvenir normand ;
- Jean Thurel, le seul militaire français à obtenir le triple médaillon de vétérance, considéré comme le plus ancien soldat d’Europe à sa mort en 1807 ;
- Bernard Trémillon, ingénieur chimiste français, spécialiste de l’électrochimie et de la chimie en solution, professeur à l’Université Pierre et Marie Curie – Paris VI et directeur de l'École nationale supérieure de chimie de Paris ;
- Louis Vennin (X 1891), officier de marine, capitaine de vaisseau qui termine sa carrière comme attaché naval à Riga (Lettonie).
Contributions supprimées
[modifier | modifier le code]Louis Pouzin
[modifier | modifier le code]Mes nombreuses contributions à l'article sur Louis Pouzin (X 1950) ont toutes été supprimées le au motif de copyvios et plagiat (Cf. Discussion:Louis Pouzin) ; l'article en question est reproduit ici pour le lecteur désireux d'en savoir plus sur cet ingénieur dont on peut résumer la vie professionnelle par « Nul n’est prophète en son pays ! ».
Famille Ravenez
[modifier | modifier le code]A priori un arbre généalogique semble hors des critères Wikipédia:Notoriété des personnes, section 2.6 : « Un article sur une famille se conçoit s'il sert peu ou prou de page d'homonymie améliorée et contextualisée pour une famille comprenant de nombreux membres ayant déjà des articles séparés. »
Je n'avais publié les deux articles Famille Vian et Famille Ravenez que pour éviter d'alourdir plus que nécessaire l'article principal sur Boris Vian déjà particulièrement copieux ; chacun présentait la généalogie de la famille en question et deux notes de l'article sur Boris Vian – ici et là – y renvoyaient expressément.
L'article sur la famille Ravenez a fait depuis l'objet d'une décision de suppression le ; il est néanmoins reproduit ici pour le lecteur désireux d'en savoir plus sur cette famille.
Famille Vian
[modifier | modifier le code]Celui sur la famille Vian, qui avait réuni le un consensus pour sa conservation, a vu de nouveau son admissibilité contestée en 2023, et les partisans de sa suppression sont devenus majoritaires.
Il s'agit à l'origine d'un article connexe de l'article principal sur Boris Vian. Il apporte tous les éclaircissements sur l'origine de cette famille, sur l'orthographe exacte du patronyme Ravenez (et non pas le controversé Woldemar Ravenez) de la mère de Boris Vian et enfin sur la profession de « fabricant de bronzes » déclarée à la naissance de Boris par son père Paul Vian, qui ont fait l'objet de discussions épiques durant l'année 2016 (Cf. points 57 à 65 de la page de discussion relative à l'article sur Boris Vian).
Cet article est sauvegardé ici pour le lecteur qui voudrait toujours en savoir davantage sur cette famille jugée sans aucun intérêt généalogique.
J'ai découvert – et dévoré ! – la littérature de Vian pendant mes années à Polytechnique (1963-1965) : J'irai cracher sur vos tombes introuvable alors en librairie – même au Quartier latin ! – figurait en bonne place à la bibliothèque des élèves !
Souvenirs, souvenirs...